Jeviens de parler avec le prĂ©sident.: Acabei de falar com o Presidente.: Je regrette vivement de ne l'avoir appris que ce soir et de ne pas avoir pu en parler avec le prĂ©sident de la commission.: Lamento muito sĂł ter sabido isto esta tarde e jĂĄ nĂŁo ter tido a possibilidade de falar com o Presidente da comissĂŁo sobre o assunto.: Autres exemples en contexte Passer au contenu RĂȘver de prĂ©sident RĂȘver de prĂ©sidentAttrape rĂȘves2021-02-14T192508+0200 RĂȘver de prĂ©sident signifie Que signifie rĂȘver de prĂ©sident ?RĂȘver de prĂ©sident – Sens et interprĂ©tationsUn prĂ©sident, vu en rĂȘve, concerne gĂ©nĂ©ralement les croyances et les sentiments que vous ressentez envers le prĂ©sident de votre pays ou le chef de l’État. RĂȘver de prĂ©sident peut Ă©galement ressembler Ă  quelqu’un qui, dans la vraie vie, peut avoir des qualitĂ©s de leader. NĂ©anmoins, la plupart des rĂȘves de prĂ©sident n’ont pas vraiment trait Ă  la personne mais Ă  vos Ă©motions et opinions cachĂ©es vis-Ă -vis de votre environnement et plus particuliĂšrement de ceux qui exercent un pouvoir sur vous. Ci-dessous, nous passerons en revue divers rĂȘves liĂ©s Ă  la prĂ©sidence pour vous aider Ă  les interprĂ©ter. RĂȘver d’un prĂ©sident mort, tuĂ© ou assassinĂ©Si le prĂ©sident, dans le rĂȘve, est mort ou tuĂ©, cela indique que vous avez perdu un idĂ©al ou le sens du leadership. Votre subconscient recherche un nouveau modĂšle Ă  suivre. RĂȘver de la mort d’un prĂ©sident peut, Ă©galement, ĂȘtre liĂ© Ă  une perte de pouvoir au sein de votre entourage. Peut-ĂȘtre que vos membres, que ce soit au travail ou Ă  la maison, ont cessĂ© de vous Ă©couter et de vous suivre. RĂȘver de tuer le prĂ©sident indique que vous en avez assez de vous sentir contraint par les exigences des autres. Inconsciemment, vous vous sentez opprimĂ© et incapable d’affirmer vos propres opinions. RĂȘver d’embrasser le prĂ©sidentEmbrasser ou ĂȘtre physiquement intime avec le prĂ©sident, dans un rĂȘve, indique que vous aimez flirter avec le pouvoir et l’autoritĂ©. Cependant, vous aurez tendance Ă  ne pas ĂȘtre au pouvoir vous-mĂȘme, mais plutĂŽt Ă  vous rapprocher de ceux qui y sont. RĂȘver de rendez-vous avec le prĂ©sident, et l’embrasser, reprĂ©sente le dĂ©sir de vivre une vie plus honorable et trĂšs respectĂ©e. Significations dĂ©taillĂ©es du rĂȘve de prĂ©sidentLe rĂȘve d’ĂȘtre prĂ©sident de la rĂ©publique et de jouir du pouvoir indique que vous souhaitez ĂȘtre hautement professionnel dans votre domaine d’activitĂ©. Vous voulez que les autres se tournent vers vous avec respect et honneur. RĂȘver de devenir prĂ©sident reflĂšte la lutte pour le pouvoir que vous vivez au rĂ©veil, que ce soit Ă  la maison ou au travail. Vous essayez peut-ĂȘtre d’exprimer votre rĂŽle de leader et souhaitez que les autres suivent votre exemple. Cela est particuliĂšrement vrai lorsqu’il y a des voix opposĂ©es au sein de votre entourage, contre vous. RĂȘver de voter pour un prĂ©sident tĂ©moigne d’une dĂ©cision importante que vous devrez peut-ĂȘtre prendre dans un proche avenir. Lorsque vous rĂȘvez d’anciens prĂ©sidents, vos sentiments et vos connaissances sur chacun d’entre eux peuvent jouer un rĂŽle important en termes d’interprĂ©tation des rĂȘves. Quel est votre rapport et vos sentiments avec ces ex-prĂ©sidents? Autres interprĂ©tations du rĂȘve de prĂ©sidentRĂȘver d’un prĂ©sident qui a fait l’objet d’un scandale peut avoir un rapport avec l’abus de pouvoir de certaines personnes, dans votre vie Ă©veillĂ©e. Le rĂȘve d’un ex prĂ©sident qui a fait parler de lui dans un scandale sexuel concerne, gĂ©nĂ©ralement, une personne d’autoritĂ© qui cherche Ă  abuser de vous, soit physiquement soit moralement. Trouvez tous vos rĂȘves Vos rĂȘves par catĂ©gories Amour Animaux RĂȘves d'animaux sauvages RĂȘves de chats RĂȘves de chien RĂȘves de serpent Dents Feu Les cauchemars Les Ă©tudes sur les rĂȘves RĂȘves de maison Sang Transports RĂȘves de camion RĂȘves de voiture Tuer Voyage Vacances Pays error Contenus et images protĂ©gĂ©s!! Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expĂ©rience sur notre site web. Si vous continuez Ă  utiliser ce site, nous supposerons que vous en ĂȘtes de confidentialitĂ© EndĂ©placement Ă  Clichy-sous-Bois ce mercredi, le prĂ©sident de la RĂ©publique a notamment donnĂ© son opinion sur l'avenir de ZinĂ©dine Zidane.
"Tant qu'il y aura des hommes". Vous vous souvenez, c'est ce film dans lequel Deborah Kerr et Burt Lancaster nous ont fait rĂȘver. Dans le film, le sergent Milton Warden – le personnage de Burt Lancaster – ne souhaite pas accĂ©der au grade de capitaine plus de pouvoir l'amĂšnerait forcĂ©ment sur un terrain qui ne lui ressemble pas, Ă  l'image du peu sympathique Capitaine suite aprĂšs la publicitĂ© Nous on se dit tous "Si, vas-y justement, toi tu seras un bon." Mais c'est sans compter sur la maniĂšre qu'a le pouvoir de pervertir mĂȘme les plus blanches colombes. En fait voilĂ , en plus d'avoir fait rĂȘver baver pas mal de monde, le mec avait dĂ©jĂ  compris le paradoxe du pouvoir. Petit chef Que fait donc le pouvoir Ă  notre cerveau ? Qu'on pense aux caprices de stars, Ă  ces dirigeants politiques qui ont perdu la boule, ou au petit chef qui ne se sent plus auquel on a tous eu affaire on ne peut pas s'empĂȘcher de penser que le pouvoir rend suite aprĂšs la publicitĂ© Le petit chef dĂ©jĂ . Pour moi c'Ă©tait un boulot d'Ă©tudiant Ă  KFC. Au-delĂ  de l'odeur de graillon et de la chaleur qui rĂ©gnaient en maĂźtres dans les cuisines, ce qui m'a le plus marquĂ©, c'est ma manager de l'Ă©poque. Ce petit patron donc, qui te prend pour une merde. Le petit dictateur qui te coupe, qui ne prend plus la peine de rire aux blagues pas drĂŽles de GĂ©rard alors que tout le monde s'y efforce, qui ne t'Ă©coute pas ou pianote sur son tĂ©lĂ©phone pendant que tu t'essouffles au sujet de tes droits de travailleur. Bref, celui qui ne se sent plus parce qu'il a un petit peu de pouvoir sur toi. Toi qui as envie d'exploser, d'exagĂ©rer en lui disant qu'il n'est rien, mais bon, Ă  tout moment il est susceptible de t'envoyer nettoyer les toilettes, alors tu te tais doucement. La suite aprĂšs la publicitĂ© Manspreading Laurent BĂšgue est professeur de psychologie sociale Ă  l'universitĂ© Grenoble Alpes, et auteur de Psychologie du bien et du mal » Odile Jacob, 2011. InterrogĂ© par Rue89, il nous explique cette impression prĂ©gnante, que dĂšs qu'une personne acquiert un peu de pouvoir, elle serait comme victime d'un dĂ©ficit d'empathie. Le pouvoir est inscrit dans les relations sociales, et trĂšs tĂŽt. »Il peut prendre des formes multiples. Dans la famille, nous faisons par exemple appel aux pouvoirs de rĂ©compense et de coercition. L'expertise, la dĂ©tention d'informations, de moyens financiers, ou encore la lĂ©gitimitĂ© d'un statut, en sont d'autres sources. Les mƓurs aussi, peuvent instaurer des relations de pouvoir. Comme encore aujourd'hui, on aura beau dire, celui de l'homme sur la femme Cela rappelle les phĂ©nomĂšnes de manterrupting’ et 'manspreading' il s’agit d’une forme de sexisme qui relĂšve de la position des hommes dans la sociĂ©tĂ©. »Mais entre la manager de KFC, le relou du mĂ©tro, et, au pif hein, le prĂ©sident des Etats-Unis, il y a comme un gouffre. Alors on se demande, comment ne pas perdre la boule sous le poids de tant de pouvoir ?La suite aprĂšs la publicitĂ© Bush, Hitler, Thatcher, Mao... Si dĂ©jĂ  le petit pouvoir confĂ©rĂ© Ă  ma manager la rend autoritaire, incapable de se mettre deux minutes dans les baskets de quelqu'un d'autre, on a du mal Ă  imaginer le rĂ©sultat avec le prĂ©sident de la premiĂšre puissance mondiale. DĂ©jĂ  que Macron se prend pour Jupiter. Enfin du coup, si, depuis Trump en fait, on visualise plutĂŽt bien que le pouvoir puisse rendre mĂ©galo et arrogant. Dommage qu'il soit difficile de destituer un PrĂ©sident au moyen des troubles de la personnalitĂ© narcissique qu'il prĂ©sente. La question du profil psychologique des hommes de pouvoir passionne les foules. Dans Dans la maladie et le pouvoir » Ă©d. Methuen, 2008, Lord David Owen identifie ce qu'il appelle le syndrome de l'hubris », un trouble de la personnalitĂ© associĂ© Ă  la possession du pouvoir ; Ă  partir de l'Ă©tude du comportement des prĂ©sidents amĂ©ricains et des premiers ministres anglais sur les 100 derniĂšres annĂ©es. L'hubris, c'est comme un ego dĂ©mesurĂ©, qui se traduit par des comportements particuliers comme parler de soi Ă  la troisiĂšme personne. Pour Owen, c'est ce syndrome qui aurait fait perdre le sens des rĂ©alitĂ©s Ă  Tony Blair et Georges W. Bush, et expliquerait qu'ils aient dĂ©clenchĂ© la guerre en Irak. Toujours selon l'auteur, Chamberlain, Hitler, Thatcher et d'autres encore, Ă©taient probablement atteints. De mĂȘme pour Mussolini et Mao, qui en plus de l'hubris, avaient des comportements bipolaires jackpot.La suite aprĂšs la publicitĂ© Bref, ça expliquerait pas mal de petits » accrocs dans l'histoire. Mais alors d'oĂč cela vient-il que ces personnes, qu'elles aient un peu ou beaucoup de pouvoir, deviennent folles ? Le Paradoxe du Pouvoir » Le pouvoir comme un coup sur la tĂȘte, comme une tumeur qui achĂšve la sympathie. Le pouvoir, ce trouble de la personnalitĂ© qu'on observe dans les salles de rĂ©union et les bureaux des patrons une maladie qui n'est pas encore prĂȘte d'ĂȘtre guĂ©rie. Le pouvoir comme pathologie, c'est la conclusion de Dacher Keltner, professeur de psychologie Ă  Berkeley, qui a cherchĂ© Ă  identifier les diffĂ©rences de comportements entre les personnes puissantes, et les suite aprĂšs la publicitĂ© Il remarque que les sujets sous l'influence du pouvoir agissent comme s'ils avaient subi un traumatisme cĂ©rĂ©bral ils sont impulsifs, et surtout, peu aptes Ă  se mettre Ă  la place des autres, Ă  adopter leur point de vue. C'est ainsi qu'il dĂ©finit le Paradoxe du pouvoir », qui veut qu'une fois que vous avez du pouvoir, vous perdez les capacitĂ©s dont vous aviez besoin pour en arriver lĂ . Des qualitĂ©s comme l'empathie. C'est aussi vers ce rĂ©sultat que tendent les Ă©tudes de l'amĂ©ricain, professeur en psychologie sociale, Adam Galinsky, et de son Ă©quipe – Joe Magee, Ena Inesi, Deborah H. Gruenfeld – sur les effets du pouvoir sur la capacitĂ© Ă  comprendre le point de vue des autres. L'une de leurs expĂ©riences consistait Ă  estimer ces effets sur l'aptitude Ă  adopter la perspective visuelle d'un autre individu, en demandant aux sujets d'inscrire la lettre E » sur leur suite aprĂšs la publicitĂ© Ils constatent alors que les personnes qui avaient Ă©tĂ© mises en situation de pouvoir ont plus eu tendance Ă  dessiner le E orientĂ© vers eux, tandis que les personnes dĂ©tenant moins de pouvoir l'ont dessinĂ© de maniĂšre Ă  ce que les autres puissent le lire directement. Des neurones de l'empathie ? Alors pourquoi le pouvoir influence notre empathie prĂ©cisĂ©ment ? Dans notre cerveau nous avons 100 milliards de neurones, et parmi eux les neurones moteurs, ceux grĂące auxquels nous pouvons bouger. Or des neurones moteurs d'un genre un peu particuliers ont Ă©tĂ© identifiĂ©s les neurones miroirs, qui permettent de se voir agir Ă  la place de l'autre, un peu comme devant un miroir. Comme une rĂ©sonance motrice du cerveau confrontĂ©e Ă  l'action d' suite aprĂšs la publicitĂ© Pour certains chercheurs, ce processus neuronal spĂ©cifique expliquerait beaucoup de choses peut-ĂȘtre un peu trop ?. Il serait notamment impliquĂ© dans la comprĂ©hension des autres, dans les processus d'intersubjectivitĂ©, de mimĂ©tisme... Et donc pierre angulaire de l'empathie. Une Ă©tude du neuroscientifique amĂ©ricain Sukhvinder Obhi montre que le pouvoir semble nuire Ă  ce processus neuronal alors qu'ils sont stimulĂ©s, les neurones miroirs des personnes ayant du pouvoir semblent moins rĂ©agir que ceux des autres personnes, un peu comme s'ils avaient Ă©tĂ© anesthĂ©siĂ©s. Gagner en efficacitĂ© L'hypothĂšse de Obhi, c'est que le pouvoir entraĂźne une rĂ©organisation dite fonctionnelle » du cerveau. Une personne qui accĂšde Ă  un poste Ă  responsabilitĂ©s aura par exemple besoin de lĂącher du lest sur l'empathie pour gagner en efficacitĂ©. Sylvie Granon, directrice de l'Ă©quipe de recherche Neurobiologie de la Prise de DĂ©cision » Ă  l'Institut de neuroscience Paris-Saclay, a bien voulu rĂ©pondre aux questions de Rue89 on ne comprenait pas tout, on avoue. Elle nous prĂ©vient. Il faut rester prudent sur le terrain de l'empathie La suite aprĂšs la publicitĂ© Dire que les neurones miroirs, associĂ©s aux zones motrices, impliquĂ©s dans la capacitĂ© Ă  imiter un geste moteur, sont Ă  l'origine de l'empathie, c'est risquer de s'avancer. La question est trĂšs intĂ©ressante, mais Ă  ce jour, elle n'est pas encore tranchĂ©e. On sait que le systĂšme limbique est Ă  la base du traitement Ă©motionnel. Mais on est toujours Ă  la recherche des marqueurs neurobiologiques prĂ©cis de l'empathie. »En revanche, l'impact du pouvoir sur notre cerveau est une thĂ©orie tout Ă  fait probable selon la chercheuse. PrĂ©dispositions Ă  l'empathie Le cerveau est mystĂ©rieux et merveilleux. Sa plasticitĂ©, sa souplesse Ă  faire et dĂ©faire des connexions neuronales en fonction de l'environnement l'explique trĂšs bien les traits de personnalitĂ© ne sont pas immuables. En revanche, ce qu'on observe, c'est qu'il existe bien une coloration Ă©motionnelle de base chez chaque individu – plus ou moins empathique, plus ou moins Ă©gocentrique par exemple MĂȘme chez les animaux consanguins – qui ont le mĂȘme background gĂ©nĂ©tique et qui Ă©voluent dans le mĂȘme environnement [animaux de laboratoire, ndlr] – on observe une variabilitĂ© par exemple dans la prise de dĂ©cision, dont on ne connaĂźt pas la cause. »En fait pour le dire simplement, on a quand mĂȘme des petites prĂ©dispositions Ă  l'Ă©gocentrisme ou Ă  l'empathie, mĂȘme si rien n'est dĂ©finitif, et que tout cela dĂ©pend beaucoup de l'environnement dans lequel on suite aprĂšs la publicitĂ© S'intĂ©resser aux gens ordinaires Vu tout cela, vous vous rendez-compte que vous avez du pouvoir, et vous le sentez vous prenez le melon. Est-ce que vous pouvez arranger ça ? Lord David Owen admet-lui mĂȘme souffrir de son syndrome de l'hubris. Mais pas de panique, il a des conseils pour vous. Il existe bien quelques stratĂ©gies Se rappeler de certains Ă©pisodes de son passĂ© ; s'entourer de personnes qui nous ramĂšnent Ă  la rĂ©alitĂ© par exemple, pour Winston Churchill, c'Ă©tait sa femme ClĂ©mentine, comme on peut le voir dans cette lettre de juin 1940 ; lire souvent les texte constitutionnels pour se rappeler que nous sommes tous Ă©gaux ; mais aussi... regarder des documentaires sur les gens ordinaires » ce sont ses mots. Comme nous, les gens ordinaires, pourrions regarder un documentaire animalier. Pour vous les gros ego Keltner aussi, en est venu Ă  Ă©laborer des petits conseils qui vous sont destinĂ©s, vous les gros ego mais dĂ©jĂ  vous vous en rendez compte, c'est un premier pas. Par exemple, il faudrait sans cesse se rappeler les comportements qui vous ont aidĂ© Ă  grimper les Ă©chelons, comme la gratitude ».La suite aprĂšs la publicitĂ© Dans cet article, on trouve plusieurs paragraphes, sorte de petits guides pour pratiquer l'empathie », la gratitude, ou encore la gĂ©nĂ©rositĂ©. Ne pas ĂȘtre » hein, pratiquer ». FlorilĂšge Posez une ou deux questions dans chaque interaction et paraphrasez les points importants soulevĂ©s par d'autres que vous, Si quelqu'un vient vers vous avec un problĂšme, montrez votre soucis avec des phrases comme je comprends c'est compliquĂ© », Ă©vitez de tomber dans le jugement Avant les rendez-vous, pensez aux personnes que vous allez cĂŽtoyer et Ă  ce qui se passe dans leur vie Et de conclure Cela rĂ©veillera le travail et l'esprit d'Ă©quipe de ceux qui vous entourent. Et vous aussi, vous en bĂ©nĂ©ficierez, avec une rĂ©putation redorĂ©e, un leadership durable. »Machiavel moderne En fait, un peu comme Machiavel dans Le Prince », Keltner vous explique comment devenir un tyran tout en vous faisant aimer par les autres. Parce qu'il faut bien passer par lĂ  si l'on veut se maintenir. Ces conclusions sous forme de conseils Ă©laborĂ©es par Owen et Keltner sont dĂ©rangeantes. Elles supposent un nous » et un vous ». Elles sous-entendent qu'il y a des puissants, et des faibles. Qu'on ne peut rien changer Ă  cela. Comme si la l'Ă©tat de nature dĂ©crit par Hobbes s'imposait comme une rĂ©alitĂ©. La suite aprĂšs la publicitĂ© On en arrive forcĂ©ment lĂ . Au chef d'entreprise qui doit montrer Ă  ses employĂ©s qu'il est content d'eux. Pas simplement parce que c'est normal de dire aux gens qu'ils font du bon boulot quand c'est le cas, mais plutĂŽt pour booster leur productivitĂ©. Aux politiques qui doivent garder un lien avec la rĂ©alitĂ© du peuple, au moins en apparence, pas parce qu'ils le respectent, mais parce que c'est en mangeant au Fouquet's, en faisant des bourdes sur le prix du pain au chocolat ou le nombre de renouvellements possibles du CDD, qu'on l'Ă©nerve. On le prĂ©fĂšre endormi. Dans ces conclusions, on ne dit pas que le pouvoir est malade. Que le problĂšme se trouve peut-ĂȘtre Ă  ce niveau-lĂ . La suite aprĂšs la publicitĂ© Le pouvoir, une maladie mentale Adam Galinsky lui, ne va pas dans la mĂȘme direction. Avec son Ă©quipe, ils estiment que les donnĂ©es rĂ©coltĂ©es pourraient ĂȘtre exploitĂ©es pour rĂ©flĂ©chir Ă  rendre les leaders plus responsables socialement. A contrĂŽler les forces Ă©gocentriques et destructrices de leur psychologie, afin que le pouvoir se transforme en rĂ©el leadership. Jean-Pierre Friedman est l'auteur de Du pouvoir et des hommes » Michalon, 2002. Pour lui Le pouvoir est une maladie mentale. Comme disait La Fontaine, ils n'en mourraient pas tous, mais tous Ă©taient atteints. »Dans un entretien pour le magazine Psychologie en janvier dernier, il dĂ©clarait Le 'bon' serait celui qui, par un processus de sublimation, aurait la volontĂ© d’assouvir son narcissisme et sa mĂ©galomanie pour le plus grand bien de l’humanitĂ©. Sauf que l’histoire montre que le pouvoir est redoutable et, qu’à de trĂšs rares exceptions prĂšs, il dĂ©bouche forcĂ©ment sur le dĂ©sir d’en abuser. D’oĂč la supĂ©rioritĂ© du rĂ©gime dĂ©mocratique, fondĂ© sur le souci de limiter ce pouvoir. »Pourtant aujourd'hui, la dĂ©mocratie paraĂźt malade Ă  bien des Ă©gards. On a pas encore trouvĂ© mieux, depuis que Montesquieu nous a dit C'est une expĂ©rience Ă©ternelle, que tout homme qui a du pouvoir est portĂ© Ă  en abuser. Il va jusqu'Ă  ce qu'il trouve des limites. »Comme l'impression que tant qu'il y aura des hommes, fatalement cela le restera une expĂ©rience Ă©ternelle. Aller plus loin Que se passe-t-il dans un cerveau amoureux ? Nous sommes tous des cobayes Ă©motionnels Comment traiter son patron de gros con » sans se faire virer Ramzan Kadyrov, le tyran tchĂ©tchĂšne au compte Instagram hallucinant
4mn. Le président centrafricain Faustin-Archange Touadéra a donc lancé, le 3 avril 2022, le « projet sango », cryptomonnaie censée attirer des investisseurs dans le
DĂ©bats Le candidat qui portera les couleurs du PS Ă  l'Ă©lection prĂ©sidentielle sera connu dimanche. Portraits des deux compĂ©titeurs finaux vus par les internautes qui les soutiennent. François Hollande rĂȘvĂ© en prĂ©sident de la RĂ©publique Dans les dĂ©bats sur les candidats du Parti socialiste Ă  l'investiture pour les Ă©lections prĂ©sidentielles, les commentaires du prennent parti. Ils prĂȘtent Ă  François Hollande et Ă  Martine Aubry les qualitĂ©s nĂ©cessaires Ă  un prĂ©sident de la RĂ©publique, ou bien dĂ©noncent ce qu'ils voient de dĂ©fauts en chacun d'eux. Nous choisissons, dans ce "Vous l'avez dit", l'angle positif quels sont les trois atouts le plus souvent prĂȘtĂ©s Ă  l'un et Ă  l'autre par ceux qui les espĂšrent prĂ©sidente ou prĂ©sident de la RĂ©publique ?La bonhommieFrançois Hollande, ce serait la "force tranquille" Lelimousinan. "Il sait, par son attitude, ĂȘtre rassurant et serein" Conscience.Son attitude, quelle est-elle ? "Il a l'air sympa plus que beaucoup d'autres" ardeso, en quelque sorte "un homme plaisant" Alexis30, "paisible et rassurant, parfois jovial aussi" Grand Parent.Le candidat rassure par "ses capacitĂ©s intellectuelles et d'organisation, souvent dĂ©terminantes" croquant12400, et par son humour, perçu comme un baume appliquĂ© sur la "morositĂ© gĂ©nĂ©rale" "Il est capable de jouer sur tous les registres la finesse d'esprit, l'humour comme la solennitĂ©" rebelle33, et "ça fait du bien" Svoboda.Semblent Ă©galement faire du bien "sa rondeur, son tact, son sens de l'Ă©quilibre". S'il a "moins de charisme" que d'autres, le corollaire est qu'il apparaĂźt "bien plus humble" canelle, ce qui n'est pas pour dĂ©plaire aux internautes tellement rebelles Ă  "l'arrogance"."Sa proximitĂ© avec les autres est sincĂšre, et cela se sent" Ferula."Le savoir-faire pour rĂ©unir les Français" AngeloLes lecteurs disent souvent ne pas goĂ»ter les polĂ©miques entre responsables politiques. Alors François Hollande rassure aussi car, dit-on parmi ses partisans, "il n'attaque pas les autres candidats des primaires" Raiger. "Hollande n'a pas envoyĂ© une seule flĂšche contre ses coĂ©quipiers et a toujours voulu rassembler. Et il est apte Ă  rassembler une majoritĂ© de Français pour une harmonie de vivre ensemble" interro."Une vraie stature d'homme d'État" JamesbenVoilĂ  un homme que l'on Ă©couterait, soulignent les commentaires, "qui pourrait reprĂ©senter le pays, car il faut un homme cultivĂ© Ă  la tĂȘte de l'État, oĂč tout se fait par diplomatie" Erreure 003. "HonnĂȘte et diplomate" Grand Parent, le candidat semble aussi avoir pour qualitĂ© sa force de travail "C'est un travailleur qui, sous des dehors d'humoriste, voire de dilettante, travaille parfaitement ses dossiers et a un excellent rapport avec ses administrĂ©s, mĂȘme ceux qui ne partagent pas obligatoirement ses couleurs politiques" Ferula.Ce qui convient aux internautes favorables Ă  sa candidature, dans la façon dont François Hollande prĂ©sente le programme socialiste, c'est l'accent qu'il met sur "le socialisme de production", "la prioritĂ© donnĂ©e Ă  l'industrie, Ă  l'emploi des jeunes, Ă  la rĂ©forme fiscale et non Ă  la dĂ©pense publique et au soutien d'une consommation qui ne profite qu'aux importateurs et aux groupes financiers" yves92. C'est aussi, dans l'Éducation nationale, le projet de "recrĂ©er sur 5 ans les 60 000 Ă  70 000 postes supprimĂ©s depuis 2007", bonne idĂ©e, dit Tenebon, car ce secteur, "c'est l'avenir du pays".C'est encore "l'inscription, par le biais d'un amendement Ă  la pro­chaine loi de finances, de la rĂ©duction Ă  3 % du dĂ©ficit en 2013", et le lancement d'une "vaste rĂ©forme fiscale", qui ouvrent l'espoir de sortir d'une "sociĂ©tĂ© de rĂ©gression, sociĂ©tĂ© oĂč les riches deviennent toujours plus riches, les pauvres toujours plus pauvres" oxea. "PrĂŽner la rigueur sans exclure les plus dĂ©munis, voilĂ  une bonne initiative" Doremi.Ainsi François Hollande paraĂźt "avoir ce qu'il faut, de la volontĂ©, du sĂ©rieux, de l'intelligence" claire, "une vraie stature d'homme d'État, faite de sĂ©rieux, de franchise, de compĂ©tence et de rigueur morale" Jamesben.L'espoirLe candidat "communique l'espoir" eausauvage. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement François Hollande rĂȘvĂ© en prĂ©sident de la RĂ©publique Que lire, que voir, Ă  quel Ăąge ? 8 Commentaires
  1. Ô·ŐŸŐ§ŃˆŐ„Ń‰áˆŸ ኆσօ ኗοряዣаሃэŐČω
  2. ЧαсĐČĐ°Ő±Ï…Đ± Ő­ŃĐ»áŒżĐ·ĐČŐ§
    1. áˆ—áŒąÎ”Đ»ĐžŐ€ŐžĐ¶ α
    2. Ő…Ï‰ĐČŃÎ±Ïˆ юротюւ
    3. ՕĐČĐ”Ï€Ö…ĐŒá‹ŒŐČ ĐžĐșŐšÏÏ‰Ő»ÎčĐČсሃ չтĐČŐ­ŐŁĐžá‰ąĐŸĐż
Sivous ĂȘtes Ă©lu prĂ©sident, vous allez grimper les Ă©chelons de la sociĂ©tĂ© plus rapidement que prĂ©vu. Tandis que, le rĂȘve de parler avec un prĂ©sident vous prĂ©pare Ă  relever de nouveaux dĂ©fis difficiles. En revanche, se quereller avec une personne de ce rang indique que vous surestimez vos compĂ©tences avec arrogance et vanitĂ©.
Jean-Yves Le Drian et Emmanuel Macron, le 3 avril 2020. © Reuters En voyage au Congo, le ministre des Affaires Ă©trangĂšres lĂąche quelques confidences. Extraits. Depuis que son nom revient pour succĂ©der Ă  Edouard Philippe Ă  Matignon, des Ă©lus et des ministres se sont pris d’une affection soudaine pour lui. Ils ignorent que Jean-Yves Le Drian est une force tranquille, qui aime travailler dans la durĂ©e. A priori, cette histoire de Matignon ne l’atteint pas plus que ça. Une rumeur parmi d’autres. On en parle trop, on ne parle que de ça, on devrait plutĂŽt parler du redressement Ă©conomique de la France», souffle-t-il Ă  Paris Match, alors qu’il attend l’avion qui le mĂšnera de Bruxelles, avec une dĂ©lĂ©gation de l’Union europĂ©enne, en RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo RDC.Lire aussi L'Ă©dito de Bruno Jeudy - Macron, opĂ©ration survie politique La suite aprĂšs cette publicitĂ© ... La suite aprĂšs cette publicitĂ© Devenir le Premier ministre de fin de mandat du président Macron n’est pas forcément un cadeau. Raison pour laquelle l’entourage de Jean-Yves Le Drian ne le pousse pas vers Matignon. Contrairement à une légende, le poste ne lui a jamais été proposé explicitement par François Hollande, il n’a donc jamais eu à le refuser. Il ira si on le lui demande, parce qu’il a le sens du devoir », assure un proche. Il ira aussi s’il sent que la situation l’exige », confirme un autre. Lire aussi Sondage Ifop Macron et ses ministres Ă  la peine La suite aprĂšs cette publicitĂ© La suite aprĂšs cette publicitĂ© ...En privĂ©, Le Drian le rĂ©pĂšte J’ai beaucoup de respect pour Edouard Philippe. Pour moi, il est Ă  la fois loyal et courageux.» Mais l’ancien maire de Lorient a-t-il envie du poste ? Un ami de Macron admet que nommer un ex-ministre de François Hollande Ă  Matignon, ça ne fait pas rĂȘver ». C’est un plan B pour Macron », analyse un Ă©lu du premier cercle. Le prĂ©sident cherchait, sans la trouver, une femme. L’autre premier ministrable » du gouvernement, Bruno Le Maire, est d’un profil trop proche de celui d’Edouard Philippe. Dernier argument avancĂ© en faveur de Jean-Yves» Macron aura les mains libres. Il sera prĂ©sident et Premier ministre.» En ont-ils dĂ©jĂ  parlĂ©? Je ne fais jamais Ă©tat de mes Ă©changes avec le prĂ©sident, Ă  personne. Pas mĂȘme Ă  ma femme », nous rĂ©pond calmement Le aussi Bruno Le Maire assure qu'il n'est "pas intĂ©ressĂ©" par Matignon Retrouvez l'intĂ©gralitĂ© de ce reportage dans le numĂ©ro 3711 de Paris Match, en vente dĂšs jeudi dans les kiosques et sur iPad. Contenus sponsorisĂ©s PersonnalitĂ©s Sur le mĂȘme sujet
Pourle prĂ©sident de la RĂ©publique, le rĂ©gime Ă©lectoral est fixĂ© par la Constitution elle-mĂȘme. Il y a trois catĂ©gories d'Ă©lecteurs : 1° les parlementaires (sĂ©nateurs et dĂ©putĂ©s); 2° les conseillers gĂ©nĂ©raux ; 3° des conseillers municipaux et des reprĂ©sentants Ă©lus par les Conseils municipaux. Contenu principal Recherche Pied de page Billet de blog 28 avr. 2012 Ce blog est personnel, la rĂ©daction n’est pas Ă  l’origine de ses contenus. A quand les philosophes, les logiciens dormants ?AndrĂ© BretonChaque fois que je puis trouver trace de rĂȘve, dans quelque Ɠuvre que ce soit, je suis prĂȘt Ă  toutes les concessions. Le merveilleux, qu'il soit d'origine scientifique, littĂ©raire, religieuse, m'a toujours captivĂ©. Car, Ă  chaque victoire de l'imagination sur le rĂ©el, un des liens qui retiennent notre esprit se dĂ©tache et tombe. La libĂ©ration commence et dĂ©jĂ  on en aperçoit les consĂ©quences Queneau Arte a eu la curieuse initiative de rĂ©unir, sous forme de vignette-vidĂ©o » d’une minute environ, une sĂ©rie de tĂ©moignages sur le thĂšme J’ai rĂȘvĂ© du prĂ©sident. » Suite Ă  un appel Ă  contributions lancĂ© dĂ©but janvier, Etienne Chaillou et Mathias ThĂ©ry ont reçu par Internet des Ă©vocations d'un rĂȘve mettant en scĂšne le PrĂ©sident Sarkozy. Ils en ont fait des petits films d'animation que l'on peut voir sur le site d'ARTE. J'en livre ici la retranscription, plus ou moins fidĂšle, accompagnĂ©s de quelques autres rĂ©cits de rĂȘve trouvĂ©s ailleurs sur le net. Ce sont des tĂ©moignages sur une Ă©poque, sur une prĂ©sidence marquĂ©e par des sentiments basiques, tels, l'amour, la haine et la crainte. Une premiĂšre sĂ©rie de rĂȘves exprime des sentiments d’amour pour le PrĂ©sident. Il est Ă  noter que cette amour » prend des formes diverses amour pour la personne de Sarkozy, amour maternel », amour filial », excitation sexuelle. RĂȘve d'Alexandra, 39 ans, Marseille, septembre 2008Je rĂȘve que je suis au bord de la mer. Il y a partout de grands rochers. Je suis au bord d'une falaise, et la mer est dĂ©chainĂ©e. Sur ma droite, je vois le PrĂ©sident. Il sourit. J'aime la force et l'assurance qu'il dĂ©gage. Et je me surprends Ă  le trouver trĂšs sĂ©duisant. Et soudain, je m'aperçois que je me tiens entre la femme du PrĂ©sident et son ex-femme. Elles deux aussi sont trĂšs belles et rayonnantes. Et moi je me rends compte que je fais partie d'elles. Je fais parties des femmes du PrĂ©sident. Je me sens moi-mĂȘme trĂšs forte. Puissante mĂȘme, au milieu des rochers et de la mer dĂ©chaĂźnĂ©e. Alors lĂ  je me rĂ©veille en me disant Je suis l'Ă©lue ! Je suis l'Ă©lue ! Je suis l'Ă©lue ! RĂȘve d'HĂ©lĂšne B., 53 ans, Montmorency 95, fĂ©vrier 2010Je rĂȘve que je suis dans un grand lit trĂšs moelleux, les oreillers sont tout doux, je suis vraiment bien et dans mon rĂȘve je vois des gros seins, vraiment des beaux seins, et j'en suis trĂšs contente. Je sens que ça me tire dans le sein gauche et lĂ  je vois mes trois enfants qui tĂštent. Ils sont vraiment bien, et je suis tout pour eux. Et puis je sens que le sein droit me tiraille aussi. Et lĂ  je vois une tĂȘte brune et je m'aperçois que c'est le prĂ©sident de la rĂ©publique qui tĂšte Ă  qui mieux mieux. Il a des dents plein la bouche mais ce n’est pas grave. Puisque j'ai du lait et que je suis contente de nourrir, et bien je continue. Et c'est Ă  ce moment lĂ  que je me rĂ©veille dans un Ă©tat de voluptĂ© extraordinaire. Sur “ chrisdocti a postĂ© le 30-12-2008, ce rĂ©cit de rĂȘve Hier nuit j'ai fait un rĂȘve pour le moins assez curieux, singulier, bizarre... J'Ă©tais couchĂ© dans le mĂȘme lit que Nicolas Sarkozy et sa femme ; puis Ă  un moment, j'ai demandĂ© Ă  Sarkozy si je pouvais faire l'amour avec sa femme il m'a rĂ©pondu bien sĂ»r, d'un geste. Alors, sa femme et moi nous avons commencĂ© par nous enlacer elle me chatouillait l'entre-jambes et soufflait dans ma rĂ©gion anale, c'Ă©tait voluptueux ; moi, de mes mains je la caressais pendant que ma langue parcourait son clitoris, et elle gĂ©missait. Ce sont les images dont je me souviens. A un moment pendant notre Ă©treinte, j'ai regardĂ© Nicolas Sarkozy et j'ai remarquĂ© que son visage Ă©tait un peu renfrognĂ© ; mais nous avons continuĂ©... quand brusquement il rĂ©agit violemment en nous faisant signe qu'il fallait passer directement Ă  la pĂ©nĂ©tration. Mon rĂȘve s'arrĂȘte ici je ne sais plus trop, je pense que je me suis rĂ©veillĂ©. Dans certains cas, le sentiment d’amour est couplĂ© avec un dĂ©sir de puissance le prĂ©sident peut, par exemple, nommer le rĂȘveur Ă  un poste important. RĂȘve d'Anne B., 25 ans, Bordeaux 33, mai 2011Je rĂȘve d’un gala de charitĂ© trĂšs chic. Je suis Ă  cĂŽtĂ© du PrĂ©sident de la RĂ©publique. Je l'appelle par son prĂ©nom. Je suis sa fille. Il me parle en espagnol, je ne comprends pas un mot de ce qu'il me raconte, je suis pourtant bilingue et je m'entends hurler "je ne vous comprends pas, mister president". LĂ  je ne parle plus qu'en anglais, alors lĂ , il me prend de haut, me fait signe de m'Ă©carter. Je rĂ©ponds aux journalistes et d'un coup je suis en manif et je hurle ???. Et nous sommes dans un restaurant sur les Champs-ElysĂ©es, le prĂ©sident vient vers moi et me dit "C'est du bon travail" Je m'entends rĂ©pondre "Merci monsieur". J'ai perdue mon oreillette et on m'annonce "Madame, la ministre de la culture". Je sourie au prĂ©sident et je me rĂ©veille." Sur le site » on trouve aussi ce rĂȘve postĂ© par angele102 le 5/02/09 J'ai rĂȘvĂ© qu'il Y avait une foule devant son domicile qui faisait des revendications. J'Ă©tais devant sa porte. Sa femme a Ă©tĂ© bousculĂ©e en essayant de se frayer un chemin. Elle arrive devant la porte et frappe. On lui ouvre. Je la soutiens car elle ne tiens pas debout. Je me souviens des rouge Ă  lĂšvre que nous portions elle rose mat et moi orange. J'ai l'impression que nous nous reconnaissons par ce signe distinctif Ă©trange!!!. On la fait entrer et du coup moi aussi. Je rencontre le prĂ©sident qui a l'air de s'ennuyer Ă  cause de ces problĂšmes. J'ai l'impression qu'il regrette mĂȘme cette prise de fonction. Je ne parle pas et suis inquiĂšte car je crains de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur pour communiquer avec lui. Tout est si calme, il est pensif. Plus loin il y a des enfants, je m’approche d'eux et nous mettons Ă  parler. C'est trĂšs - postĂ© le 5/02/09 J'ai oubliĂ© de dire que j'avais l'impression que le prĂ©sident allait me nommer ministre et lĂ  je me posais des questions quant Ă  la maniĂšre que j'allais communiquer. Dans certains cas, les sentiments ambivalents amour-haine pour le prĂ©sident sont mis en balance avec le fait que le prĂ©sident pourrait rĂ©soudre nos problĂšmes problĂšmes de situation sociale », de reconnaissance, problĂšmes de dents, de literie, etc. avec le risque de se sentir complĂštement hypocrite. RĂȘve d'Amina, 29 ans, Brignac 34, janvier 2010Je rĂȘve que je suis en Tunisie et que je rencontre le prĂ©sident de la RĂ©publique dans un gros 4x4. Il me trouve sympa. Il me propose de le conseiller pour lui faire gagner les Ă©lections. Alors ma sƓur me dit Vas-y ! Propose-lui qu'il t’épouse, comme ça t'auras une situation. Et puis, moi, je ne veux pas. Alors le PrĂ©sident se met Ă  me sĂ©duire. Il m'emmĂšne dans les restaurants. Il me propose de m'arranger mes dents. Mes dents, c'est vraiment mon point faible. Et il me dit "Regarde ! Moi, je l'ai dĂ©jĂ  fait. J'ai des dents nickel !" Et puis il me donne une voiture, un portable, la situation. Mon pĂšre est super-autoritaire. Et il dit Quel bonheur, ce prĂ©sident ! Je ne sais pas comment il fait, il parle arabe. Et moi je deviens un peu amoureuse quand mĂȘme. On se rapproche. Et puis, heureusement, je me rĂ©veille... RĂȘve de Yann D., 62 ans, Ponthierry 77, dĂ©cembre 2011Je rĂȘve que je reçois une lettre du prĂ©sident de la rĂ©publique, qui me demande de bien vouloir le rencontrer dans son palais de l'ElysĂ©e. Je me demande bien pourquoi, je ne suis qu'un poĂšte presque anonyme. J'arrive Ă  l'ElysĂ©e, je rencontre le prĂ©sident. Il adopte de suite le "tu" "Mon cher Yann, je t'ai fait venir pour te faire une proposition je t'offre le secrĂ©tariat de la poĂ©sie rattachĂ© au ministĂšre de la culture. Qu'en penses-tu ?". Abasourdie, je reste sans voix. Il insiste "il me faut une rĂ©ponse rapide !" Sur ces entrefaites, son Ă©pouse entre brusquement dans le bureau sans frapper, tout en chantant "Quand je pense Ă  Fernande, je bande
" Et c'est lĂ  que je me rĂ©veille. Sur le blog » ce rĂȘve de Bellelurette Ă©ditĂ© le Samedi 26 janvier 2008 J'ai rĂȘvĂ© de notre prĂ©sident. Je ne sais pas si c'est Ă  cause du fait que je dois changer de literie... et ma literie n'a pas de ressorts ! Toujours est-il que j'Ă©tais dans une grande salle faite pour accueillir des gens, pour je ne sais quelle cĂ©rĂ©monie et il y avait une espĂšce de canapĂ© bas, mais alors, inconfortable au possible. Bien que recouvert avec un beau tissu en lin, on voyait bien qu'il y avait de vieux ressorts qui voulaient se faire la malle ! Alors je jugeais que cela ne pouvait plus continuer. Et passe par lĂ  notre prĂ©sident, accompagnĂ© par une personne que je n'ai pas reconnue, mais une sorte de porte-parole. Je l'interpelle et lui demande de bien vouloir s'asseoir sur ce canapĂ©. Il pose son cĂ©ans dessus et soudain, bling, il est dĂ©portĂ© en arriĂšre et se cogne la tĂȘte contre le mur ! Il prend ses genoux dans ses mains et c'est reparti de plus belle ! Bling et rebling ! Un mot m'est venu alors en tĂȘte "Culbutos" ! Vous savez, ce genre de petit personnage que si on le pousse, il revient toujours Ă  sa place premiĂšre. "Alors Monsieur le prĂ©sident, vous voyez bien que ce canapĂ© est totalement inconfortable " AprĂšs, c'est assez confus, surtout que j'ai fait ce rĂȘve il y a quelques jours. Toujours est-il que j'ai rĂ©ussi Ă  lui faire voter un budget pour changer ce canapĂ© ! Yeeeeeeeees ! Et je sais que cela Ă  voir avec ma literie que je dois changer puisque Fred a cassĂ© mon lit, mais je n'arrive pas Ă  me dĂ©cider sur ce que je dois acheter ! Sur le ” alifarka, le 23-11-2010 poste ce rĂ©cit de rĂȘve Cette nuit, j'ai rĂȘvĂ© du prĂ©sident de la rĂ©publique. Chacun arrive de son cĂŽtĂ© vers une place centrale oĂč il n'y a personne, en plein jour. Je lui serre la main, une poignĂ©e de main franche. Ces derniers jours, je fais attention au travail Ă  mes poignĂ©es de main, puisque mon chef qui vient de m'embaucher dans mon nouveau travail me recommande, en bon consultant, des poignĂ©es de main franches. Il me disait aussi un bon consultant, c'est d'abord quelqu'un qui rassure. Mais je m'Ă©gare, revenons au rĂȘve. AprĂšs la poignĂ©e de main, je lui fais des Ă©loges de courtisan sur sa capacitĂ© d'action, et me permets de critiquer sa mĂ©thode. Tout cela est fait avec beaucoup de prĂ©cautions oratoires, alors que dans ma tĂȘte, je me disais "mon Dieu, t'es en train de te travestir ! Qu'est-ce que c'est que ce comportement de lĂšche-bottes auquel tu t'adonnes ?" Puis il me coupe, au moment oĂč j'arrive aux critiques, j'ai bien compris qu'il Ă©tait hyper susceptible. Puis il a continuĂ© sa route, et je suis restĂ© au milieu de la place. Une autre sĂ©rie de rĂȘve tĂ©moigne de sentiment de crainte envers le prĂ©sident, sentiment firtement teintĂ© par celui d’ĂȘtre physiquement menacĂ© et/ou profondĂ©ment humiliĂ©. RĂȘve de Violaine E, une jeune femme de 24 ans, originaire de Beyne 78, octobre suis dans une grande piĂšce, un salon d’exposition, j’attends, je suis hĂŽtesse. D’un coup, un groupe s’approche et je me rends compte qu’au milieu il y a le prĂ©sident de la RĂ©publique. Je suis collĂ©e au mur, le prĂ©sident me parle, mais je ne me rappelle pas ce qu’il me dit. Je vois juste qu’il veut me serrer la main et moi je ne veux pas. Je lui dis non, mais le prĂ©sident m’ordonne de lui serrer la main. Je suis obligĂ©e de le faire. C’est horrible pour moi, donc je me mets Ă  pleurer et, Ă  ce moment-lĂ , mon ex apparaĂźt juste derriĂšre le prĂ©sident, parce qu’il est plus grand que lui, et il se moque de moi parce qu’il voit que je suis obligĂ©e de lui serrer la main et que je pleure. C’est lĂ , je me suis rĂ©veillĂ©e
 RĂȘve de Charlotte D., 30 ans, Aix-en-Provence 13, janvier 2012Je rĂȘve qu'on m'annonce que j’obtiens un nouvel emploi, je suis ravie et je dĂ©cide donc d'aller faire des courses dans une grande surface. Il y a beaucoup de monde. Je prends une tomme d'emmental et un livre. Au moment de passer en caisse, je ne sais pourquoi, je dĂ©cide de ne pas attendre mon tour, et de partir sans payer. Evidemment je me fais attraper par des vigiles trĂšs mĂ©content et lĂ , surprise, arrive le prĂ©sident de la rĂ©publique accompagnĂ© de son premier ministre. Ils discutent entre eux et aprĂšs rĂ©flexion, ils dĂ©cident de faire de moi un exemple. Ils m'imposent de circuler dans le supermarchĂ© devant tout le monde avec une pancarte autour du cou sur laquelle est Ă©crit "J'ai volĂ© du fromage et un livre." RĂȘve de Jeanne C., 16 ans, Campigny 27, janvier 2012Je rĂȘve que je suis dans une salle d'expositions de photographies avec une amie du lycĂ©e, y a des couloirs Ă©troits, ça va dans tous les sens, ça ressemble plutĂŽt Ă  un labyrinthe. On avance, on regarde, et lĂ , on s'arrĂȘte devant un portrait. Celui du prĂ©sident de la rĂ©publique. Il nous regarde. Il a un regard trĂšs insistant. Il nous fixe fort. Et lĂ , il sort de la photo. Mon amie elle lui tend les bras, et lui il l'embrasse. Mais, il l'embrasse sur la bouche. Moi je prends la fuite et lĂ  je me fais pourchassĂ©e par toutes les personnes sorties des photos. Et je me souviens ensuite que j'ouvre une page de journal avec un gros titre, le prĂ©sident de la rĂ©publique demande en mariage une belle brune et lĂ  je me de Sonia A., 19 ans, Etampes 91, octobre 2011Je rĂȘve que je suis dans une ville, que je travaille Ă  la chaine avec mes outils, et d'un coup surgit le prĂ©sident de la rĂ©publique. Et lĂ , c'est comme dans un jeu vidĂ©o, un peu comme Mario Bros. Une course poursuite s'engage alors dans l'usine. Le prĂ©sident rĂ©cupĂšre les piĂšces et nous pourchasse en poussant des slogans politiques. Et lĂ , il tombe dans un immense baril de gĂ©latine rose oĂč est inscrit "game over". Et lĂ  je me rĂ©veille. RĂȘve de RaphaĂ«l T., 22 ans, Paris, janvier 2012Je rĂȘve que je suis dans une jungle prĂšs d'une riviĂšre avec mon copain. Il part chercher du gros gibier et pendant ce temps je reste tout seul dans des ruines industrielles envahies par la vĂ©gĂ©tation. Pendant ce temps je tire sur des ptĂ©rodactyles roses qui passent dans le ciel pour participer Ă  la chasse. Les cadavres s'entassent au milieu des ruines. Je dĂ©cide d'utiliser ces cadavres pour tendre un piĂšge Ă  de grands animaux qui ressemblent Ă  des buffles rouges, quand ils s'approchent, je leur tire dessus. Ils ont une conscience et ils me reprochent ma fourberie. Je culpabilise et Ă  ce moment lĂ  des humains dĂ©filent devant le tas de viande et me font des reproches. Et c'est alors que le prĂ©sident de la rĂ©publique passe en courant et essaye d'uriner sur mon tas de viande en ricanant. Je lui tire dessus et il poursuit sa course. Et ensuite je m'enfuie Ă  mon tour dans un dĂ©dale d'ascenseur et d'escaliers." Avec Sarkozy, la crainte peut prendre un caractĂšre global » RĂȘve de CĂ©cile U., 33 ans, Montreuil 93, janvier 2012Je rĂȘve qu'il y a un sommet international trĂšs important qui se dĂ©roule, et je suis dans la mĂȘme piĂšce que tous les chefs d'Etat. Il y a le prĂ©sident amĂ©ricain le prĂ©sident russe. Je ne sais pas pourquoi je suis lĂ . C'est un moment trĂšs tendu. Ils discutent tous en anglais. Je suis en train de parler de nĂ©gociation pour la paix dans le monde. Soudain, il y a le prĂ©sident français qui rentre, il parle trĂšs fort, il parait trĂšs sĂ»r de lui, mais je m'aperçois qu'il parle trĂšs mal anglais. Les autres ne le comprennent pas. Alors, j'essaye de me proposer pour traduire, et ça ne marche pas du tout. Ils comprennent de travers, et ils commencent Ă  mal le prendre. La tension monte. Et lĂ  je me dis que les nĂ©gociations n’aboutiront jamais et que ça va ĂȘtre la troisiĂšme guerre mondiale. Il est trĂšs tard et je m'en autre sĂ©rie de rĂȘves a une tonalitĂ© haineuseRĂȘve de ChloĂ© B., 27 ans, Cucuron, mai 2007Je rĂȘve que je suis dans la rue, y'a une voiture noire un peu banalisĂ©e qui arrive, ça me parait louche, je vois qu'il y a la fenĂȘtre qui se baisse un petit peu, et je vois le prĂ©sident de la rĂ©publique qui me regarde avec l'air un peu mauvais alors du coup alors je m'approche et lĂ  il me sort un pistolet et il tire... C'est comme un pistolet de farce et attrape ; les balles tombent mollement par terre. DeuxiĂšme image, je suis encore dans la rue, je revois cette mĂȘme voiture passer. Sauf que cette fois, je sais. Alors j'y vais un peu Ă©nervĂ©e avec mes clĂ©s coincĂ©es dans le poing, et je lui plante mes clĂ©s dans la tĂȘte et je le tue. Et Ă  ce moment lĂ  je me d'Elsa M., 29 ans, Bagnolet 93, aoĂ»t 2009Mon rĂȘve se passe dans une citĂ© dans le 93, y'a des grandes tours grises qui encerclent une piscine qui a Ă©tĂ© installĂ©e pour que se dĂ©roule les combats de boxe. Il pleut mais il y a quand mĂȘme beaucoup de monde qui est venu, des gens de la citĂ©, des cailleras. Aujourd'hui c'est un combat entre l'ancien prĂ©sident de la rĂ©publique et le nouveau prĂ©sident de la rĂ©publique. L'ancien PrĂ©sident porte un short de satin rouge avec un trench ouvert et le nouveau PrĂ©sident arrive avec son petit costard de ville. Pendant le match le nouveau prĂ©sident est super nerveux, super mĂ©chant, rapide, incisif. L'ancien prĂ©sident, qui est beaucoup plus tranquille, a beaucoup plus d'aisance dans les gestes qui va le dominer pendant tout le match. Le nouveau prĂ©sident se fait mettre KO et lĂ  je me rĂ©veille. RĂȘve de Juliette L., 35 ans, Marseille 13, juin 2007Je rĂȘve que c'est l'hiver, il fait froid. Je suis avec une bande d'amis et avec le prĂ©sident de la rĂ©publique... C'est une de mes connaissances. Il porte un trĂšs grand manteau, trĂšs lourd, il a de grosses Ă©paulettes, alors ça fait une sorte de rectangle noir. Il a l'air sĂ»r de son bon droit, il est trĂšs content d'ĂȘtre lĂ , visiblement. Moi, je lui parle et il ne rĂ©agit pas du tout. Normalement si on Ă©tait deux ĂȘtres humains Ă  Ă©galitĂ© on pourrait devoir Ă©changer, mais lĂ  je parle et rien ne se passe. Il continue Ă  ĂȘtre content d'ĂȘtre lĂ , content de lui. Et moi je continue Ă  penser qu'il ne devrait pas ĂȘtre lĂ . Il profite qu'il a du pouvoir avec ses grosses Ă©paulettes noires et d'un coup je lui arrache son manteau et je le frappe, je le frappe, je le frappe... jusqu'Ă  ce que je me rĂ©veille. RĂȘve de JĂ©rĂ©my C., 26 ans, Auch 32, juillet 2011Je rĂȘve que je suis invitĂ© Ă  une Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e oĂč le PrĂ©sident est prĂ©sent pour dialoguer avec les français. En fait je suis le seul Ă  dialoguer avec le prĂ©sident qui se trouve de l'autre cĂŽtĂ© d'une immense table. La parole est Ă  moi, j'ai bien les chocottes et je ne contrĂŽle absolument pas ce que je dis. Je lui cris "On en a plein le cul, vous comprenez, on en a plein le cul". C'est tout ce que je peux dire. Le prĂ©sident ne bouge pas, il reste Ă  l'Ă©coute, il est trĂšs poli. Et je me rends compte que le public, il me soutien et qu'il cri la mĂȘme chose au prĂ©sident "on en a plein le cul ! On en a plein le cul !" L'Ă©mission est diffusĂ©e Ă  une heure de grande Ă©coute, je fais la Une des journaux et ils titrent "Il a raison, on en a plein le cul !" Et tout le monde descend dans la rue et cri "on en a plein le cul !" En fait tout le monde est d'accord. Et lĂ  je me rends compte que je suis devenu le dĂ©clencheur d'un soulĂšvement qui me dĂ©passe complĂštement. Je me sens un peu mal Ă  l'aise d'avoir créé tout ce bazar. Je me rĂ©veille avec cette phrase lĂ  qui rĂ©sonne dans ma certains rĂȘves, les sentiments haineux prennent une tonalitĂ© ironique, mĂ©prisante, mettant en scĂšne un prĂ©sident de CĂ©cile, 33 ans, Paris, une nuit de dĂ©cembre rĂȘvĂ© que j'Ă©tais en train de courir Ă  cĂŽtĂ© d'une grande femme blonde. Et lĂ , d'un coup, la fille se transforme en prĂ©sident de la RĂ©publique. Mais, en fait, il n'Ă©tait plus prĂ©sident. Donc on va au cafĂ©. On s'installe dans une salle bondĂ©e. Et, moi, j'hallucine parce que personne ne le reconnaĂźt. Je suis assise en face d'un mec que je dĂ©teste, mais en fait il est tout malheureux, tout triste. Parce qu'il est amoureux de la grande blonde. Je suis touchĂ©e parce que d'un coup, cet espĂšce de monstre devient humain. Il dit que ne plus ĂȘtre prĂ©sident, ça fait tout vide. Il est tellement sympathique que je fais une blague il aurait pu faire une loi pour rester au pouvoir. Et il rigole. RĂȘve de Bruno G., 56 ans, Perigueux 24, juillet 2011Je rĂȘve que je rencontre le prĂ©sident de la rĂ©publique dans les rues de PĂ©rigueux. Il m'invite Ă  monter dans une petite voiture pour aller visiter une prison. Il s'installe entre le chauffeur et moi, ce qui l'oblige Ă  se lever dĂšs que le chauffeur veut passer les vitesses. Il reste trĂšs digne en faisant mine de ne pas me voir rigoler sous mon manteau. Nous arrivons devant une prison oĂč il y a beaucoup d'animation. Les gens vont et vienne et je vois qu'on dresse des tables. Je m'Ă©tonne de ne plus voir le prĂ©sident. On me dit qu'il est en train de faire sa visite. Je demande aux gardiens "pourquoi ces tables ?". Ils me disent que nous allons bientĂŽt fĂȘter l'incarcĂ©ration du prĂ©sident et des gens me fĂ©licite de l'avoir accompagnĂ© jusque lĂ . Le crĂ©puscule tombe, le banquet commence, ambiance rouge-saucisson-merguez et quand les flonflons se font entendre, tout le monde est sĂ»r qu'il ne sortira pas et tout le monde danse jusqu'Ă  la nuit. Je me demande pourquoi je ne l'ai pas suivi, mais on me dit qu'il valait mieux sous peine d'y rester avec lui. RĂȘve de Philippe R., 56 ans, Bois Guillaume 76, octobre 2011Dans ce rĂȘve je suis Ă  la campagne. Une troupe de personne se trouve lĂ , quinze-vingt personnes se trouvent lĂ  et je m’approche, et je m'aperçois qu'ils Ă©coutent le prĂ©sident de la rĂ©publique. Le prĂ©sident parle beaucoup, je ne me souviens pas de ce qu'il dit parce que je suis plus attentif Ă  le regarder qu'Ă  l'Ă©couter et je suis fascinĂ© par son cĂŽtĂ© hĂąbleur et actif. Tout doucement le groupe se dĂ©place dans le chemin qui devient trĂšs en pente et le prĂ©sident se met Ă  tomber par terre et dans l'herbe un peu boueuse, il se tortille. Je le vois Ă  prendre plaisir Ă  se frotter sur le sol, et il se relĂšve et il montre qu'il a le dos mouillĂ© mais son vĂȘtement n'est pas du tout abĂźmĂ©. Ce devait ĂȘtre pour faire la promotion d’un textile bien rĂ©sistant, une sorte de textile made in France de super qualitĂ©. C'est lĂ  que le rĂȘve s'arrĂȘte. Dans certains rĂȘves les sentiments haineux sont contrebalancĂ©s par des sentiments de culpabilitĂ© ou de craintes qui peuvent pousser le rĂȘveur Ă  prendre le parti du de RenĂ©e 65 ans, Lyon 69, janvier 2012Je rĂȘve que je suis dans un quartier chic, soudain apparait le prĂ©sident de la rĂ©publique, en personne. Il s'approche de moi pour me parler. Et tout Ă  coup, de derriĂšre les voitures, surgit trois hommes, bien proprets, bien mis qui lui tombent dessus. Et pendant qu'il se dĂ©bat, deux le maĂźtrisent l'autre lui cogne dessus avec ses poing, comme avec un marteau. Et lĂ  je n'y comprends rien. Pendant cinq ans j'ai rĂȘvĂ© de la chute de notre prĂ©sident, mais lĂ  je ne sais pas ce qui me prend, je me jette dans les jambes de son agresseur, je le mords, je suis dĂ©chaĂźnĂ©e, je suis Jeanne d'Arc, je fais du kung-fu... VoilĂ , je le dĂ©fends, je ne veux pas qu'on touche au prĂ©sident. Sur le site on trouve aussi ce rĂȘve intitulĂ© L'assassinat manquĂ© de Sarkozy » postĂ© par Loni 31 ans le 3 dĂ©cembre suis avec un groupe d'amis et Marja. Nous entrons par effraction dans un appartement, et forçons son propriĂ©taire Ă  garder le silence. Nous nous installons dans son salon, et je me rends compte qu'Audie et Carita sont avec nous ! J'essaye de me cacher je ne veux pas qu'Audie ne me reconnaisse, mais il semblerait que j'aie suffisamment changĂ© elle ne me remarque mĂȘme pas. Une fois que nous nous sommes installĂ©s, mes camarades m'exposent leur plan placĂ© sur le balcon, je dois utiliser un fusil de sniper pour abattre Nicolas Sarkozy lorsqu'il passera avec son cortĂšge sur la route bordant la mer12 que nous voyons depuis l'appartement. Je refuse de faire une telle chose j'ai beau ne pas porter le prĂ©sident dans mon coeur, je me refuse Ă  faire un tel acte ! Mes camarades me demandent alors de viser Ă  cĂŽtĂ© et de tuer son chien, ce que je refuse Ă©galement. Je leur dis Ă©galement que la police essaiera sĂ»rement de surveiller les appartements sur le chemin du cortĂšge, et que nous risquons gros. Mes angoisses se confirment, et des policiers cagoulĂ©s font irruption dans l'appartement. Alors que nous sommes convaincus d'ĂȘtre finis, c'est le propriĂ©taire de l'appartement qui, Ă  notre grande surprise, vient Ă  notre secours en faisant croire aux policiers que nous sommes ses invitĂ©s. Il fait mĂȘme semblant de nous engueuler en nous disant qu'on Ă©tait rentrĂ©s bien trop tard la veille au soir sans le prĂ©venir. RĂȘve de StĂ©phanie L., 34 ans, Marseille 13, mars 2008Je rĂȘve que je suis dans un grand restaurant trĂšs luxueux, avec plein d'amis. Tout le monde parle fort, tout le monde discute du gouverne, de faire la rĂ©volution, en fait. A cĂŽtĂ© de la table il y a un serveur trĂšs trĂšs bien habillĂ©, tirĂ© Ă  quatre Ă©pingles, bien droit comme un i et je me rends compte en fait que c’est le prĂ©sident de la RĂ©publique. On est tous vraiment trĂšs enflammĂ©s. Je suis la seule Ă  avoir captĂ© que c'est le prĂ©sident qui fait le service et je dĂ©cide de calmer leurs ardeurs rĂ©volutionnaires "ça sert Ă  rien de se rebeller, de toute façon la rĂ©volution, c'est pas pour demain, on arrivera Ă  rien..." Et je surveille du coin de l'Ɠil pour voir si le prĂ©sident entend bien ce que je suis en train de dire Ă  mes amis. Tout le monde se calme et je rends compte que le prĂ©sident Ă  entendu mon discours et je suis trĂšs trĂšs fiĂšre. En guise de conclusion Sur le forum » NBA95 Ă  postĂ© ce rĂ©cit de rĂȘve le 27 mars 2012 Dans mon rĂȘve j'Ă©tais dans ma chambre, j'ai allumĂ© mon ordi, j'ai allumĂ© internet explorer et lĂ  que vois-je suis le site de Nicolas Sarkozy réélu prĂ©sident de la rĂ©publique RĂȘve dĂ©bile ou PrĂ©monition ? Les articles les plus lus Journal — Les affaires financiĂšres de La France insoumise RecommandĂ©s par nos abonnĂ©es À la Une de Mediapart Journal — Gauches Gouverner autrement » l’offensive de Jean-Luc MĂ©lenchon En conclusion de l’universitĂ© d’étĂ© de La France insoumise, l’ancien candidat Ă  la prĂ©sidentielle a livrĂ© un discours Ă©cologiste sur une base de rupture, condition de l’union selon lui. Je n’ai cessĂ© de croire que nous aurons bientĂŽt Ă  gouverner ce pays », affirme-t-il. Journal — Écologie Le leader français du jet privĂ© brĂ»le la planĂšte en toute impunitĂ© Mediapart rĂ©vĂšle comment VallJet, premiĂšre compagnie française d’aviation d’affaires, n’a pas compensĂ© financiĂšrement ses Ă©normes Ă©missions de gaz Ă  effet de serre. BĂ©nĂ©ficiaire d’importantes aides publiques, elle se prĂ©parerait de plus Ă  contourner la future rĂ©forme europĂ©enne sur le carbone. Journal — Diplomatie ProlifĂ©ration nuclĂ©aire la Russie met l’ONU en Ă©chec La 10e confĂ©rence d’examen du TraitĂ© sur la non-prolifĂ©ration des armes nuclĂ©aires s’est achevĂ©e sur un Ă©chec. La Russie a bloquĂ© l’adoption du texte final, sur fond de tensions autour de la centrale de Zaporijia en Ukraine. Le comportement des autres États dotĂ©s d’un arsenal nuclĂ©aire n’est cependant pas exemplaire. Journal — Politique Sexe, chantage et vidĂ©o l’odieux complot L’entourage du maire Les RĂ©publicains de Saint-Étienne, GaĂ«l Perdriau, a piĂ©gĂ© son premier adjoint centriste Gilles Artigues, ancien dĂ©putĂ©, en le filmant Ă  son insu avec un homme lors d’une soirĂ©e intime, Ă  l’hiver 2014, Ă  Paris. La vidĂ©o est depuis utilisĂ©e pour le faire chanter, selon une enquĂȘte de Mediapart, qui rĂ©vĂšle les coulisses de cette opĂ©ration. La sĂ©lection du Club Billet de blog Abondance et insouciance la perspective Jet-ski Nous vivons la fin de ce qui pouvait apparaĂźtre comme une abondance 
 et la fin, pour qui en avait, d’une certaine forme d’insouciance ». Emmanuel Macron, dĂ©claration en prĂ©ambule du Conseil des ministres du 24 aoĂ»t 2022. Billet de blog La libertĂ© au temps du capital des individus et des Ă©coles La LibertĂ© est un concept sacralisĂ©, ce qui n'empĂȘche nullement son instrumentalisation au service des dominations qu'engendre le systĂšme capitaliste. Quand au nom d'une LibertĂ© gĂ©nĂ©rique on restreint la libertĂ© rĂ©elle de la majoritĂ© de la population, il est nĂ©cessaire de s'interroger sur ses usages et ses contenus rĂ©els. >Eclairage. Interview avec Dr Denis Banshimiyubusa :« Un discours qui cache mal une volontĂ© d’instaurer une dĂ©mocratie monopartite » Au risque qu’il soit taxĂ© de vouloir verrouiller l’espace politique, analyse le politologue, le prĂ©sident de la RĂ©publique devrait prĂŽner et adopter un discours conciliateur. Le PrĂ©sident de la RĂ©publique, SEM Alassane OUATTARA, a eu un entretien ce mercredi 11 janvier 2017, au Palais de la PrĂ©sidence de la RĂ©publique, Ă  Abidjan, avec son homologue du BĂ©nin, SEM Patrice TALON. Au terme de leurs Ă©changes, le Chef de l’Etat bĂ©ninois a d’abord relevĂ© l’excellence des relations entre son pays et la CĂŽte d’Ivoire ; des relations dont il se dit ’fier’’. Il a ensuite tĂ©moignĂ© au PrĂ©sident Alassane OUATTARA sa ’reconnaissance’’ pour le leadership qu’il incarne et qui ’inspire tant’’ ; tout en le fĂ©licitant pour la maniĂšre dont il gĂšre la CĂŽte d’Ivoire, un ’grand pays’’ pour la sous- rĂ©gion et un pays important pour l’UEMOA l’Union MonĂ©taire et Economique de l’Afrique de l’Ouest. Le PrĂ©sident Patrice TALON a Ă©galement tenu Ă  fĂ©liciter son homologue ivoirien pour la sortie de la ’petite crise’’ de la semaine derniĂšre. A ce niveau, il a prĂ©cisĂ© que tout ce qui touche la CĂŽte d’Ivoire, le ’moindre petit incident’’, interpelle tout le monde. C’est pourquoi, il a soulignĂ© que le peuple bĂ©ninois et lui-mĂȘme prient leurs frĂšres ivoiriens afin de prĂ©server la paix et la tranquillitĂ© que le pays et la sous- rĂ©gion connaissent depuis quelques annĂ©es. Car, pour lui, c’est la seule condition pour nous de nous dĂ©velopper, d’attirer les investisseurs Ă©trangers et de sortir de la pauvretĂ©. Le Chef de l’Etat bĂ©ninois a aussi ajoutĂ© que l’entretien avec le PrĂ©sident Alassane OUATTARA a Ă©tĂ© l’occasion de parler de l’UEMOA et d’évoquer la situation en Gambie. Concernant ce pays la Gambie, il a dit son optimisme et celui du Chef de l’Etat ivoirien quant Ă  une issue heureuse de la crise, au regard notamment des derniĂšres dĂ©clarations du PrĂ©sident sortant, M. Yaya JAMMEH. Pour terminer, le PrĂ©sident Patrice TALON a rĂ©vĂ©lĂ© que l’entretien avec le Chef de l’Etat a Ă©galement portĂ© sur les Institutions financiĂšres de la sous- rĂ©gion. Des Institutions qui, selon lui, fonctionnent Ă  merveille et financent le dĂ©veloppement. Toutefois, a-t-il ajoutĂ©, il convient d’y opĂ©rer quelques rĂ©glages au niveau de la gouvernance de ces Institutions pour faciliter la mobilisation des financements Ă  faibles coĂ»ts afin de favoriser la compĂ©titivitĂ© de nos Ă©conomies. Quant au PrĂ©sident Alassane OUATTARA, il a dit sa joie de recevoir le PrĂ©sident Patrice TALON Ă  Abidjan. Il a indiquĂ© que pour les Ivoiriens, le BĂ©nin a toujours Ă©tĂ© un pays d’hospitalitĂ©, de convivialitĂ©, d’amitiĂ©. Il a informĂ© son homologue bĂ©ninois de la mise en place progressive, depuis quelques jours, des nouvelles Institutions du pays. ThĂšmesdu programme d'EMC en rapport avec le projet "Si j'Ă©tais PrĂ©sident de la RĂ©publique des enfants" 1- LibertĂ©, conflits et sens de la Loi - LibertĂ©, ResponsabilitĂ©, Engagement, agir individuellement et collectivement - ÉgalitĂ©. La loi, droits et devoirs, Droit et rĂšgle, vivre avec les autres, sens de la loi et de la sanction
MédiathÚque Fiche média Entretien avec le président de la République
jhXc5TO.
  • 0r9715yy2c.pages.dev/93
  • 0r9715yy2c.pages.dev/62
  • 0r9715yy2c.pages.dev/132
  • 0r9715yy2c.pages.dev/113
  • 0r9715yy2c.pages.dev/64
  • 0r9715yy2c.pages.dev/184
  • 0r9715yy2c.pages.dev/203
  • 0r9715yy2c.pages.dev/209
  • 0r9715yy2c.pages.dev/114
  • rĂȘver de parler avec le prĂ©sident de la rĂ©publique