CommissionLocale d’Information et de Surveillance – 14 juin 2012 15 Eaux pluviales : quelques points non-conformes notamment sur les MES et DCO. Eaux rejets industrielles: - Mesures RSDE (seconde partie) en cours - Mise en conformité du rejet (canal venturi + système prélèvement) en attente validation Agence de l’eau
Contexte La Commission internationale de surveillance et de contrôle au Cambodge surveillait l’application des Accords de Genève et aidait les forces de résistance khmères à se disperser pour que leurs membres puissent rentrer chez eux, tout en aidant le Viêt-minh à quitter le pays. Une grande partie de ces activités se sont déroulées en 1954 et 1955; après 1958, le Canada n’était plus représenté que pour la forme. La Commission a complètement cessé ses activités en 1969. Admissibilité et critères Cette médaille était décernée en reconnaissance de 90 jours cumulatifs de service entre le 7 août 1954 et le 15 juin 1974. Description Médaille brun foncé bronze de 36 mm 1,42 pouce de diamètre. À l’avers figure l’emblème de la Commission internationale de surveillance et de contrôle deux drapeaux croisés, celui de gauche chargé d’une feuille d’érable et celui de droite d’une ligne horizontale centrale, avec une colombe de la paix aux ailes déployées se trouvant au croisement des hampes des drapeaux et trois lions un tourné vers la gauche, un de face et un tourné vers la droite entre les drapeaux. L’inscription INTERNATIONAL COMMISSION FOR SUPERVISION AND CONTROL » figure sur le pourtour, avec le mot PEACE » au bas, en lettres plus grosses et plus espacées. Au revers figure une carte de l’Indochine montrant les trois pays Vietnam, Cambodge et Laos avec leurs noms dans la graphie locale. Un ornement floral est soudé à la partie supérieure de la médaille et fixé à une large barrette ornée de trois lignes horizontales en creux. Une étroite barrette horizontale est fixée au-dessus de cette large barrette par ses extrémités, et le ruban est passé entre les deux. Le ruban comporte trois bandes égales une vert foncé, une blanche et une rouge. Le vert représente l’Inde et le rouge, le Canada et la Pologne. Le blanc symbolise la paix. Barrettes Il n’existe aucune barrette pour cette médaille. Port de l’insigne La médaille se porte conformément à l’ordre de préséance prescrit dans la Directive canadienne sur les ordres, décorations et médailles, et de la manière suivante sur le côté gauche de la poitrine, suspendue au ruban décrit ci-dessus, après la Médaille non-article 5 » pour le soutien logistique de l’OTAN à la Mission de l’Union africaine au Soudan et avant la Médaille de la Commission internationale de contrôle et de surveillance au Vietnam. Initiales honorifiques L’utilisation d’initiales honorifiques n’est pas permise pour cette médaille. Notes historiques Le grade, le nom de famille et les initiales du récipiendaire apparaissent sur la tranche de la médaille. Voici la liste des militaires qui sont décédés en servant dans le théâtre d’opérations Sgt Byrne Cpl Perkin relativeau projet de création d'un centre de stockage de déchets ultimes. sur le territoire de la commune de Saint Jean aux Amognes. Mardi 23 septembre 2003. Porté à connaissance.
Les personnels enseignants des écoles et des collèges peuvent être sollicités par les communes ou les départements pour assurer un service d’enseignement, des études surveillées ou la surveillance des élèves comme à la cantine. A ce titre, ils perçoivent une indemnité horaire de surveillances suivant certaines conditions. CHAMP D’ATTRIBUTION –AGENTS CONCERNES L’article 97 de la Loi 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, départements et régions stipule que les collectivités territoriales et leurs établissements publics peuvent, dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat, verser des indemnités supplémentaires aux agents des services déconcentrés de l'Etat ou des établissements publics de l'Etat au titre des prestations fournies personnellement par ces agents en dehors de l'exercice de leurs fonctions dans lesdits services et établissements publics de l'Etat. Le décret 82-979 du 19 novembre 1982 précise les conditions d’octroi pour les missions de surveillance et d'encadrement effectuées par des personnels des établissements scolaires. Ce même décret fixe les règles d’indemnisation pour d’autres prestations des services de l’Etat 1° Les contrôles effectués par des agents des corps techniques de l'Etat ainsi que par des archivistes ; 2° Les participations à des jurys d'examens et de concours et les missions d'enseignement confiées à des agents des services déconcentrés de l'Etat ou des établissements publics de l'Etat ; 3° L'aide technique apportée aux collectivités territoriales et à leurs établissements publics par les agents des services déconcentrés de la direction générale des finances publiques. Cette possibilité doit être confirmée par une délibération de la collectivité ou de l’établissement qui précisera, en outre les établissements concernés par le dispositif. L’arrêté ministériel du 11 janvier 1985 fixe la liste des personnels de direction et enseignants qui peuvent bénéficier du dispositif 1. Personnels de direction. Directeurs D'école maternelle ou élémentaire ; D'école annexe ; D'école d'application ; D'école autonome de perfectionnement ; D'école de plein air ; D'école nationale de perfectionnement. 2. Personnels enseignants. Instituteurs assurant un service d'enseignement Dans une école maternelle ou élémentaire ; Dans une école normale d'instituteurs, un lycée ou un collège. Instituteurs ayant qualité de Maître permanent d'école annexe ; Maître permanent de classe d'application. Instituteurs exerçant Dans les écoles nationales de perfectionnement ; Dans les écoles autonomes de perfectionnement ; Dans les écoles de plein air y compris celle annexée au Centre national d'études et de formation pour l'enfance inadaptée de Suresnes. Un arrêté individuel d’attribution est établi pour chacun des bénéficiaires. CONDITIONS D’ATTRIBUTION ET MONTANT C’est le décret 66-787 du 14 octobre 1966 qui fixe les taux plafonds de rémunération de certains travaux supplémentaires effectués par des instituteurs en dehors de leur service normal au dernière évaluation indiciaire Taux maximum à compter du 1er février 2017 HEURE D'ENSEIGNEMENT Instituteurs exerçant ou non les fonctions de directeur d'école élémentaire 22,26 € Instituteurs exerçant en collège 22,26 € Professeurs des écoles classe normale exerçant ou non des fonctions de directeur d'école 24,82 € Professeurs des écoles hors classe exerçant ou non des fonctions de directeur d'école 27,30 € HEURE D'ÉTUDE SURVEILLÉE Instituteurs exerçant ou non les fonctions de directeur d'école élémentaire 20,03 € Instituteurs exerçant en collège 20,03 € Professeurs des écoles classe normale exerçant ou non des fonctions de directeur d'école 22,34 € Professeurs des écoles hors classe exerçant ou non des fonctions de directeur d'école 24,57 € HEURE DE SURVEILLANCE Instituteurs exerçant ou non les fonctions de directeur d'école élémentaire 10,68 € Instituteurs exerçant en collège 10,68 € Professeurs des écoles classe normale exerçant ou non des fonctions de directeur d'école 11,91 € Professeurs des écoles hors classe exerçant ou non des fonctions de directeur d'école 13,11 € La formule de calcul est la suivante T + T'/ 2 x 30 x 40 x 5/6 Dans laquelle T est le traitement brut de début de carrière de l'instituteur abstraction faite de l'échelon de stage ; T' le traitement brut de fin carrière de l'instituteur chargé de la direction d'une école élémentaire de plus de 10 classes. Le taux horaire des indemnités allouées aux professeurs des écoles de classe normale, exerçant ou non des fonctions de directeur d'école, pour un service d'enseignement est calculé selon la même formule qu'à l'alinéa précédent dans laquelle T est le traitement brut correspondant au 1er échelon de la classe normale du corps des professeurs des écoles et T' le traitement brut de fin de carrière d'un professeur des écoles de classe normale. Le taux horaire des indemnités allouées aux professeurs des écoles hors classe, exerçant ou non des fonctions de directeur d'école, est égal à 110 p. 100 du taux horaire de l'indemnité prévue à l'alinéa précédent. Le taux horaire de l'indemnité allouée aux instituteurs et aux professeurs des écoles pour un service d'enseignement est égal à 125 % du taux horaire prévu à l'article 2. Les heures consacrées à l'accompagnement éducatif sont rétribuées selon les mêmes modalités. Le taux horaire de l'indemnité allouée aux professeurs et aux directeurs de collège d'enseignement général pour un service d'enseignement est égal à 125 % du taux horaire de l'indemnité prévue par l'article 2 pour les instituteurs et directeurs d'école élémentaire. Le taux horaire de l'indemnité allouée aux personnels enseignants pour un service de surveillance est égal à 60 % du taux horaire prévu à l'article 2. Les collectivités peuvent fixer des montants de référence inférieurs. La périodicité des versements peut être annuelle ou mensuelle à terme échu. Informations pratiques sur l’indemnité de surveillance, d’études et d’enseignement des enseignants Liens vers les textes officiels Décret n°66-787 du 14 octobre 1966 Décret n°82-979 du 19 novembre 1982 Arrêté du 11 janvier 1985 Articles connexes Calcul salaire et charges Liste des primes des agents territoriaux Liste des primes des agents hospitaliers Liste des primes des agents de l’Etat Liste des primes des praticiens hospitaliers
Institutde Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Repères, avril 2018, 37, p. 20-21. Les instances d'information locale autour des sites ICPE [ Article ] Nedey, Fabienne Maires de France, juillet-août 2018, 359, p. 63. Gouvernance à cinq dans l'élaboration et la mise en oeuvre des Plans de Prévention des Risques technologiques
L'Autorité de surveillance du Ministère public de la Confédération doit être renforcée. Après avoir passé à la loupe les relations de l'instance avec le MPC, les commissions de gestion du Parlement proposent de lui accorder plus de moyens et de de surveillance du Ministère public de la Confédération MPC doit rester une entité indépendante de l'exécutif. Personne n'aspire à mettre en place une surveillance politique, indiquent les commissions de gestion dans le rapport final publié Parlement devrait renforcer le rôle de surveillance de l'autorité, plutôt que de l'affaiblir, et la doter des ressources adéquates. Son droit à donner des directives devrait être mieux aux dossiersL'instance devrait avoir un large accès aux dossiers, y compris les procédures en cours. Elle a d'ailleurs proposé d'étendre ses droits à l'information en s'inspirant du pouvoir des autorités exerçant la haute surveillance parlementaire. Le Parlement devrait légiférer en ce sens, selon le rapport de surveillance du Ministère public de la Confédération devrait en outre conserver son pouvoir disciplinaire. En effet, ni l’Assemblée fédérale ni la commission judiciaire ne sont des organes qui conviennent pour conduire une procédure disciplinaire. Certaines lacunes doivent cependant être comblées et la panoplie disciplinaire danger de la politisationDans le domaine du droit du personnel, les commissions n'ont identifié aucun besoin de clarification. L'autorité ne devrait pas avoir de compétences supplémentaires en la matière. Les problèmes liés à l’élection, la réélection et la révocation des personnes à la tête du MPC devraient être résolus dans le cadre de la réforme en cours de la réélection des juges de la a montré que la réélection du procureur général de la Confédération peut être politisée, ce qui représente non seulement une menace pour son indépendance mais également pour trouver des personnes hautement qualifiées, relève le législative en vueIl faudrait aussi clarifier les rapports de travail entre le Parlement et la direction du MPC et résoudre les problèmes émanant des dispositions sur la nomination de procureurs extraordinaires. Les commissions de gestion recommandent en outre d'approfondir les propositions des experts mandatés pour évaluer la situation prônant une direction collective à la tête du de surveillance devrait être professionnalisée. Une indemnisation adéquate des membres ainsi qu’un étoffement des ressources à disposition devraient être prévus. Il serait aussi judicieux de la rattacher à une unité administrative ou aux services du balle est désormais dans le camp des commissions des affaires juridiques des deux Chambres fédérales. Ce sont elles qui pourront lancer les réformes législatives informellesLes problèmes entre l'Autorité de surveillance et le MPC sont apparus lors de la procédure disciplinaire engagée contre l'ancien procureur général de la Confédération Michael Lauber, concernant la troisième rencontre informelle entre le président de la FIFA Gianni Infantino et Michael Lauber. En mai 2019, les commissions de gestion ont lancé leur inspection pour comprendre ces en cause, Michael Lauber a quitté son poste le 31 août dernier. Son successeur ou sa successeuse n'a toujours pas été trouvé.>> Lire Encore un tour pour rien dans la quête d'un procureur de la Confédérationats/kkub
COMMISSIONLOCALE D'INFORMATION ET DE SURVEILLANCE DOSSIER: ACTIVITES DE TRAITEMENT ET DE TRANSIT DES DECHETS VERTS ET DES DRECHES DE PARFUMERIE PAR LA SOCIETE O.R.E.D.U.1. PRESENTS: Monsieur RAIFAU-D - Sous-préfet de GRASSE Monsieur LAPIERRE - Adjoint au Maire délégué à l'Environnement et à l'Urbanisme -

Le droit à la participation des citoyens aux décisions locales, expressément consacré par les textes, s’exerce de manière différente selon le statut des territoires et leur taille démographique. On peut toutefois dresser une présentation générale de ces dispositifs pour les communes et les établissements publics de coopération intercommunale ci-après EPCI en distinguant deux grandes formes de participation des citoyens à la décision publique les modes de consultation directeles structures participatives I - Les modes de consultation directe S’agissant des communes, l’article L. 2141-1 du code général des collectivités territoriales ci-après CGCT, introduit par la loi n° 92-125 du 6 février 1992 et modifié par la loi n° 2004-809 du 13 août 2004, dispose que Le droit des habitants de la commune à être informés des affaires de celle-ci et à être consultés sur les décisions qui les concernent, indissociable de la libre administration des collectivités territoriales, est un principe essentiel de la démocratie locale. Il s’exerce sans préjudice des dispositions en vigueur relatives notamment à la publicité des actes des autorités territoriales ainsi qu’à la liberté d’accès aux documents administratifs ». A. Le referendum local art et suivants du CGCT La loi constitutionnelle n° 2003-276 du 28 mars 2003 modifiée par la loi constitutionnelle n° 2008-724 du 23 juillet 2008 relative à l'organisation décentralisée de la République a introduit un nouvel article 72-1 au sein de la Constitution tendant à faciliter la participation des électeurs aux affaires de leur collectivité. Le principe d'un referendum local a été introduit à l'alinéa 3 de cet article au terme duquel Dans les conditions prévues par la loi organique, les projets de délibération ou d'acte relevant de la compétence d'une collectivité territoriale peuvent, à son initiative, être soumis, par la voie du referendum, à la décision des électeurs de cette collectivité. Les conditions de sa mise en oeuvre ont été précisées aux articles et suivants du code général des collectivités territoriales. 1. Catégorie des actes pouvant être soumis à un referendum local Deux types d'actes peuvent faire l'objet d'un referendum les projets de délibération des conseils municipaux,les projets d'acte relevant des attributions du maire à l’exception des projets d’acte individuel. Dans ce cas, il appartient à l’édile de proposer à l’organe délibérant de soumettre à référendum local un acte relevant de sa compétence. Dans ce dernier cas, c’est aux maires, aux présidents de conseils généraux et aux présidents de conseils régionaux qu’il appartient de proposer à leur conseil municipal, général ou régional de soumettre à referendum local un acte relevant de leur compétence. L’initiative du recours au referendum appartient donc aux organes exécutifs sur les actes relevant de leurs attributions, mais c'est l'organe délibérant de la collectivité qui en arrêtera le principe. 2. Modalités d’organisation du scrutin C'est au conseils municipal qu'il revient de fixer les conditions d'organisation du referendum local, le jour du scrutin, et de convoquer les électeurs. Un dossier d’information sur l’objet du referendum doit être mis à la disposition du public. Le projet soumis à référendum local est adopté si la moitié au moins des électeurs inscrits a pris part au scrutin et s’il réunit la majorité des suffrages exprimés. Quelle que soit la collectivité qui a pris l'initiative d'un referendum local, c'est aux maires qu'il revient d'organiser le scrutin. Si un maire refuse de procéder à cette organisation, le préfet, après l'en avoir requis, peut y procéder d'office. Le recours à la procédure du referendum local est assorti d'un contrôle renforcé du représentant de l'Etat. La délibération organisant un referendum local devra être transmise deux mois au moins avant la date du scrutin au représentant de l'Etat qui, s'il estime celle-ci illégale, pourra saisir le juge administratif dans un délai de dix jours à compter de la réception de cette dernière. Le cas échéant, le préfet pourra assortir son recours d'une demande de suspension. 3. Financement Les dépenses liées à l'organisation du scrutin constituent une dépense obligatoire à la charge de la collectivité qui l'a décidée. Les dépenses résultant des assemblées électorales tenues dans les communes pour l'organisation d'un référendum décidé par une autre collectivité territoriale leur sont remboursées par cette dernière de manière forfaitaire, au moyen d'une dotation calculée en fonction du nombre des électeurs inscrits dans la commune et du nombre des bureaux de vote qui y sont installés. 4. Les limites temporelles à la mise en oeuvre du referendum local Le referendum local est soumis aux multiples contraintes du calendrier des échéances électorales. Ainsi, aucun referendum local ne pourra être organisé par une collectivité territoriale après le premier jour du sixième mois précédant celui au cours duquel il doit être procédé au renouvellement général des membres du conseil municipal. De la même façon, aucun referendum local ne pourra se tenir durant les campagnes ou les jours de scrutin de diverses élections ou consultations. Enfin, pendant un délai d'un an à compter de la tenue d'un referendum à l'initiative d'une commune, celle-ci ne pourra recourir à un autre referendum portant sur le même objet. 5. Portée du référendum Ce referendum local revêt un caractère véritablement décisionnel. 6. Le cas des EPCI Les EPCI ne peuvent pas organiser de référendum local. B. La consultation des électeurs art. et suivants du CGCT Les électeurs d'une commune peuvent être consultés sur les décisions que les autorités de cette commune envisagent de prendre pour régler les affaires relevant de la compétence de celle-ci. Cette consultation peut être limitée aux électeurs d'une partie de la commune dès lors que l’objet de la consultation ne concerne qu’une partie de la ailleurs, l’alinéa 3 nouveau de l’article 72-1 de la Constitution prévoit que la modification des limites territoriales peut également donner lieu à la consultation des électeurs dans les conditions prévues par la loi. 1. Initiative de la consultation La décision de recourir à une consultation appartient au conseil municipal. L’initiative de cette consultation peut également être prise par les électeurs eux mêmes. En effet, dans une commune, un cinquième des électeurs inscrits sur les listes électorales peut demander à ce que soit inscrite à l'ordre du jour de l'assemblée délibérante l'organisation d'une consultation sur toute affaire relevant de la décision de cette assemblée. 2. Modalités d’organisation du scrutin Dans l'année, un électeur ne peut signer qu'une seule demande tendant à l'organisation d'une consultation par une même commune. La décision d'organiser la consultation appartient au conseil municipal qui arrête le principe et les modalités d'organisation de la consultation. Sa délibération indique expressément que cette consultation n'est qu'une demande d'avis. Elle fixe le jour du scrutin et convoque les électeurs. A l’instar du référendum local, le recours à la procédure de la consultation est assorti d'un contrôle renforcé du représentant de l'Etat. La délibération de la collectivité fixant les modalités d’organisation de la consultation est transmise deux mois au moins avant la date du scrutin au représentant de l'Etat. Si celui-ci l'estime illégale, il dispose d'un délai de dix jours à compter de sa réception pour la déférer au tribunal administratif. Il peut assortir son recours d'une demande de président du tribunal administratif ou le magistrat délégué par lui statue dans un délai d'un mois, en premier et dernier ressort, sur la demande de suspension. Il est fait droit à cette demande si l'un des moyens invoqués paraît, en l'état de l'instruction, propre à créer un doute sérieux quant à la légalité du projet soumis à la délibération organisant la consultation est de nature à compromettre l'exercice d'une liberté publique ou individuelle, le président du tribunal administratif ou le magistrat délégué par lui en prononce la suspension dans les quarante-huit la délibération émane de l'assemblée délibérante d'une collectivité territoriale autre que la commune, le représentant de l'Etat dans cette collectivité la notifie dans un délai de quinze jours aux maires des communes dans lesquelles la consultation est prévue, sauf s'il a été fait droit à sa demande de maires organisent le scrutin. Si un maire refuse de procéder à cette organisation, le représentant de l'Etat, après l'en avoir requis, y procède d'office. 3. Financement de la consultation Les dépenses liées à l'organisation de la consultation des électeurs constituent une dépense obligatoire de la commune qui l'a décidée. Les dépenses résultant des assemblées électorales tenues dans les communes pour l'organisation d'une consultation décidée par une autre collectivité territoriale leur sont remboursées par cette collectivité de manière forfaitaire, au moyen d'une dotation calculée en fonction du nombre des électeurs inscrits dans la commune et du nombre des bureaux de vote qui y sont installés. Les tarifs de cette dotation sont fixés par décret. 4. Les limites temporelles à l’organisation d’une consultation Comme pour le referendum local, l’organisation d’une consultation est soumise au contraintes du calendrier électoral. Aucune consultation ne pourra être organisée par une commune après le premier jour du sixième mois précédant celui au cours duquel il doit être procédé au renouvellement général de son organe délibérant. A titre d’exemple, lors des élections municipales qui se sont déroulées les dimanches 9 et 16 mars 2008, l’organisation de toute consultation a été prohibée à compter du 1er septembre 2007. De la même façon, aucune consultation ne peut intervenir durant les campagnes ou les jours de scrutin de diverses élections ou consultations. Enfin, pendant un délai d'un an à compter de la tenue d'une consultation à l'initiative d'une collectivité territoriale, celle-ci ne pourra recourir à un autre referendum portant sur le même objet. 5. Portée de la consultation Les électeurs font connaître par oui ou par non s'ils approuvent le projet de délibération ou d'acte qui leur est présenté. Après avoir pris connaissance du résultat de la consultation, l'autorité compétente de la commune arrête sa décision sur l'affaire qui en a fait l'objet. 6. Le cas des EPCI L’article L. 5211-49 du CGCT permet la consultation des électeurs des communes membres d’un EPCI sur les décisions que le conseil communautaire ou le président de cet établissement sont appelés à prendre pour régler les affaires de la compétence de l’ consultation obéit aux mêmes règles que celle qui a pour objet les décisions portant sur les affaires communales. C. Les enquêtes publiques L’enquête publique a pour objet d’assurer l’information et la participation du public ainsi que la prise en compte des intérêts des tiers lors de l’élaboration des décisions susceptibles d’affecter l’environnement mentionnées à l’article L. 123-2 du code de l’environnement. Les observations et propositions recueillies au cours de l’enquête sont prises en considération par le maître d’ouvrage et par l’autorité compétente pour prendre la décision article L. 123-1 du code de l’environnement.La loi n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement, dite loi Grenelle II », a réformé l’enquête publique en mettant un terme à la multiplicité des types d’enquêtes, régies par des dispositions propres et en regroupant les enquêtes publiques en deux catégories principales - celles portant sur des projets, plans ou programme pouvant avoir des effets sur l’environnement ICPE, Eau, Déchets, Urbanisme ;- celles dédiées à l’ quatre sortes de projets, décisions et travaux qui nécessitent une enquête publique ont également été précisés. Il s’agit des projets de travaux, d’ouvrages ou d’aménagements exécutés par des personnes publiques ou privées devant comporter une étude d’impact à l’exception des projets de création d’une zone d’aménagement concerté et des projets à caractère temporaire ou de faible importance dont la liste est établie par décret en Conseil d’Etat ; des plans, schémas, programmes et autres documents de planification soumis à une évaluation environnementale pour lesquels une enquête publique est requise en application des législations en vigueur ; des projets de création d’un parc national, d’un parc naturel marin, les projets de charte d’un parc national ou d’un parc naturel régional, les projets d’inscription ou de classement de sites et les projets de classement en réserve naturelle et de détermination de leur périmètre de protection ; des autres documents d’urbanisme et des décisions portant sur des travaux, ouvrages, aménagements, plans, schémas et programmes soumises par les dispositions particulières qui leur sont applicables à une enquête publique. De manière générale, un dossier d’enquête doit être constitué, consultable en mairie à tout moment. La loi n’impose pas, en revanche, de périodes privilégiées pour l’organisation de l’enquête. Les personnes intéressées peuvent faire leurs observations au commissaire enquêteur par écrit ou par dispositions sont applicables aux rappel, en 2006, l’Association des maires de France a été associée à la Commission consultative des enquêtes publiques créée par le ministère de l’Ecologie et du développement durable. Cette dernière avait pour mission de formuler des propositions pour la réforme des enquêtes publiques. II. Les structures participatives A. La commission consultative des services publics locaux art. L1413-1 du CGCT, modifié par la loi n°2006-1772 du 30 décembre 2006 sur l'eau et les milieux aquatiques. Elle est obligatoire dans les communes de plus de 10 000 habitants. Afin d’associer davantage les citoyens à la gestion des services publics communaux, il a été prévu la création d’une commission consultative compétente pour un ou plusieurs services publics locaux exploités en régie dotées de l’autonomie financière ou dans le cadre d’une convention de gestion par le maire, cette commission comprend des membres du conseil municipal, désignés dans le respect du principe de la représentation proportionnelle, et des représentants d’associations locales nommés par le conseil proposition de son président et si son audition paraît utile, la commission pourra inviter toute personne à participer avec voix consultative à ses la demande de la majorité de ses membres, la commission a la possibilité de demander l’inscription à l’ordre du jour de toute proposition relative à l’amélioration des services publics locaux ».La commission doit examiner chaque année le rapport annuel du délégataire, mentionné à l’article du CGCT, comportant, notamment, les comptes retraçant la totalité des opérations afférentes à l’exécution de la délégation de service public et une analyse de la qualité du service,les rapports sur le prix et la qualité du service public d’eau potable, sur les services d’assainissement et sur les services de collecte, d’évacuation ou de traitement des ordures ménagères visés à l’article bilan d’activité des services exploités en régie dotée de l’autonomie financière,le rapport établi par le contractant de la collectivité lorsque celle-ci a conclu un contrat de partenariat. La commission est également consultée par l’organe délibérant sur tout projet de délégation de service public, avant que l’assemblée délibérante ou l’organe délibérant se prononce sur ce même projet,tout projet de création d’une régie dotée de l’autonomie financière, avant la décision portant création de la régie,tout projet de partenariat avant que l’organe délibérant de la collectivité ne se projet de participation du service de l'eau ou de l'assainissement à un programme de recherche et de développement, avant la décision d'y engager le service. Par ailleurs, le président de la commission consultative des services publics locaux présente à son assemblée délibérante ou à son organe délibérant, avant le 1er juillet de chaque année, un état des travaux réalisés par cette commission au cours de l'année les conditions qu'ils fixent, l'assemblée délibérante ou l'organe délibérant peuvent charger, par délégation, l'organe exécutif de saisir pour avis la commission des projets dispositions précédentes s’appliquent également aux EPCI de plus de 50 000 habitants et aux syndicats mixtes comprenant au moins une commune de plus de 10 000 habitants. Les EPCI dont la population est comprise entre 20 000 et 50 000 habitants ont la possibilité de créer une telle commission. Aux termes de l’article le conseil municipal peut créer des comités consultatifs sur tout problème d’intérêt communal concernant tout ou partie du territoire de la commune. Ces comités comprennent des personnes qui peuvent ne pas appartenir au conseil, notamment des représentants des associations locales.… ». Chaque année, le conseil municipal fixe la composition de ces comités consultatifs sur proposition du maire, chaque comité devant être présidé par un membre du conseil municipal désigné par le maire. Le maire peut consulter ces comités sur toute question ou sur tout projet intéressant les services publics ou les équipements de proximité entrant dans le champ d’activité des associations membres de ces comités. B. Les comités consultatifs sur tout problème d’intérêt communal article et suivants du CGCT Aux termes de l’article du CGCT, le conseil municipal peut créer des comités consultatifs sur tout problème d’intérêt communal concernant tout ou partie du territoire de la commune. Ces comités comprennent des personnes qui peuvent ne pas appartenir au conseil, notamment des représentants des associations locales.… ».Sur proposition du maire, le conseil municipal fixe la composition pour une durée qui ne peut excéder celle du mandat de ces comités consultatifs, chaque comité devant être présidé par un membre du conseil municipal désigné par le maire peut consulter ces comités sur toute question ou sur tout projet intéressant les services publics ou les équipements de proximité entrant dans le champ d’activité des associations membres de ces ailleurs, dans les communes de 5 000 habitants et plus, il y a obligation de créer une commission communale pour l'accessibilité aux personnes handicapées composée notamment des représentants de la commune, d'associations d'usagers et d'associations représentant les personnes handicapées. Le maire préside cette commission et arrête la liste de ses membres. Les communes de moins de 5 000 habitants peuvent créer librement une commission communale pour l'accessibilité aux personnes aux EPCILes organes délibérants des EPCI peuvent également créer des comités consultatifs sur toutes affaires d'intérêt intercommunal relevant de leur compétence sur tout ou partie du territoire communautaire article L. 5211-49-1 du CGCT.En outre, la création d'une commission intercommunale pour l'accessibilité aux personnes handicapées est obligatoire pour les établissements publics de coopération intercommunale compétents en matière de transports ou d'aménagement de l'espace, dès lors qu'ils regroupent 5 000 habitants et plus. C. Les commissions extramunicipales Ces commissions qui ne sont pas réglementées par le CGCT, sont créées à l’initiative du conseil municipal JO AN Elles peuvent être formées à tout moment et pour une durée variable. Elles sont librement constituées par le conseil municipal qui détermine lui-même leur objet, leur composition et les conditions de leur fonctionnement. Il s’agit d’instances consultatives permettant d’associer les administrés à la préparation des décisions prises par le conseil JO AN D. Les conseils de quartier article du CGCT La loi n° 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité a rendu obligatoire l’institution de conseils de quartier dans les villes de plus de 80 000 habitants. La création de conseils de quartier dans les communes de 20 000 à 79 999 habitants demeure facultative. Toutefois, dans les deux cas, le conseil municipal conserve toute liberté d’appréciation quant à la dénomination, la composition et le fonctionnement de ces conseils de quartier. Le conseil municipal doit déterminer le périmètre de chacun d’entre eux, tout le territoire de la commune devant être couvert par ce découpage. Il peut également affecter aux conseils de quartier un local et leur allouer chaque année des crédits de conseils ont un rôle consultatif et peuvent émettre des propositions sur toute question concernant le quartier ou la chargé de quartier doit connaître de toute question intéressant les quartiers dont il a la charge. Il doit également veiller à l’information des habitants et favoriser leur participation à la vie du dispositions ne s’appliquent pas aux EPCI.

Letraitement des déchets Le Centre de Valorisation des Déchets - Commissions Locales d?Information et de Surveillance:
Une Commission Locale d’Information CLI est une structure d’information et de concertation mise en place auprès d’une installation nucléaire de base. Elle a une mission générale de suivi et de concertation en matière de sûreté nucléaire, de radioprotection et d'impact des activités nucléaires sur les personnes et l'environnement, et doit favoriser l’information du public en matière de sûreté. Le décret du 12 mars 2008 précise les missions et modes d'organisation des CLI. Plusieurs CLI implantées sur le territoire français se sont regroupées au sein de l’Association Nationale des Commissions Locales d’Information ANCLI. L’ANCLI a pour ambition de constituer un réseau d'échange et d'information, et souhaite dynamiser les rapports entre les CLI et permettre ainsi l'émergence de propositions, de suggestions reconnues et portées par les mise à jour 07/01/2013© Tous droits réservés Actu-Environnement. Reproduction interdite sauf accord de l'Éditeur. COMMISSIONLOCALE D’INFORMATION Pôle chimique sud de Toulouse 29 mars 2004 La séance est consacrée à la présentation des zones inondables par la DIREN, Direction Régionale de l’Environnement, ainsi qu’à l’actualité des sites du pole chimique. Au même titre que la DRIRE, la DIREN est un service déconcentré du Ministère de l’Ecologie et du Développement Durable, dimanche 10 novembre 2013 CLIS La Commission Locale dInformation de Surveillance de l’installation de Stockage de Déchets Non Dangereux ISDND de CLARAC et LIEOUX. Présidé par le sous-préfet de SAINT GAUDENS et composé de représentants de la Direction des Affaires Sanitaires et Sooiales, du SIVOM de St Gaudens/Montréjeau/Aspet, de la mairie de Saint-Gaudens, de ’AAPPMA d’AURlGNAC Pêcheurs d’Aurignac, de la Direction Régionate de l’industrie, de la Recherche de lEnvironnement, de la Maire de LATOUE, de l’Association Nature Comminges...Différentes appellation suivant le degré d’hypocrisie du moment Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux ISDND = Centre d’enfouissement de classe 2 CET de classe 2 = Décharge2008 Unpic de dioxines et de furannes en 2010. Voilà ce qu’il ressort des analyses présentées par la société Aair Lychen chargée du suivi et du contrôle La CME est consultée et informée, notamment sur les orientations stratégiques de l’établissement, son plan de financement, la politique de recrutement des emplois contribue à l’élaboration de la politique d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins ainsi que des conditions d’accueil et de prise en charge des est chargée d’élaborer le projet consultative, le comité technique d’établissement associe les personnels hospitaliers à la gestion de l’ est composé de représentants élus du personnel non médical relevant du statut de la fonction publique est amené à émettre des avis et des vœux sur toutes les questions ayant trait à l’organisation et au fonctionnement de l’ CHSCT a pour mission de contribuer à la protection de la santé et de la sécurité des travailleurs ainsi qu’à l’amélioration des conditions de commission des soins infirmiers, de rééducation et médico-Techniques est consultée sur l’organisation générale des soins, la recherche dans le domaine des soins infirmiers, l’évaluation de ces soins et l’élaboration d’une politique de comité de gestion des signalements se réunit régulièrement pour faire l’analyse des évènements indésirables et faire le lien avec les professionnels pour mettre en place les actions CREX existent sur des thématiques c’est quoi ?C’ est l’étude théorique des principes qui guide l’action humaine dans les contextes ou le choix est possible, vise à répondre à la question Que faire pour bien faire ? »Réflexion qui vise à déterminer les règles du bien agir en tenant compte des contraintes relatives à des situations établit les critères pour agir librement dans une situation pratique et faire le choix d’un comportement dans le respect de soi même et d’ CHAL, le Comité Local d’Ethique, c’est – Une instance à votre service– Une réponse aux demandes des professionnels destinée à faciliter leur prise de décision– Une sensibilisation aux questions éthiques au sein de l’ par le Dr André Dartiguepeyrou médecin gériatre, le Comité Local d’Ethique a pour missions – Favoriser la connaissance, la diffusion et la mise en oeuvre de la charte de la personne hospitalisée– Améliorer la communication et la prise de décision au sein des équipes de professionnels– Répondre aux demandes des professionnels en leur apportant un éclairage multidisciplinaire destiné à faciliter leur prise de décision– Débattre des situations pour guider les cliniciens dans leurs décisions– Emettre des recommandations dans les domaines où des conflits d’ordre éthique sont présents– Augmenter la sensibilité aux questions éthiques dans l’ situation, une singularité Les questions indispensables que se pose l’équipe soignante – La décision envisagée est-elle légale ?– Est-elle respectueuse du patient ? des autres acteurs de la situation ?– Est-elle conforme aux intérêts généraux et à la mission de l’établissement ?– Peut-elle être aisément communiquée et généralisée ?– Serait-elle acceptable si la personne concernée était un proche ?La décision retenue sera évaluée tout au long de votre réflexion en tant que patient, un intérêt constant– Respect de ma volonté de patient quant au traitement proposé– Respect de ma capacité de discernement– Prise en compte et respect de ma décision– Puis je à tout moment changer de décision ?– Le contrat de confiance sera-t-il respecté ?– Les Directives Anticipées, une expression de votre volonté *****************************************************LES DIRECTIVES ANTICIPEES – Une démarche éthique de respect et de protection du patient.– Une démarche de concertation et de dialogue entre les soignants et le que c’est ?– C’est un document officiel qui permet d’exprimer, si vous en ressentez le besoin, votre volonté, quant à votre fin de vie.– Vous pouvez y écrire ce que vous souhaitez ou pas en terme d’examens ou de sujets aborder ?– Votre attente face à la douleur et à ses traitements– Le souhait ou le refus de certains traitements et/ou interventions chirurgicales et/ou examens invasifs– L’alimentation et l’hydratation artificielles– Les mesures de réanimation– Les personnes auxquelles communiquer des informations médicales– L’accompagnement spirituel souhaité– La désignation de votre personne de confianceMais, il n’est pas possible de – Formuler une demande illégale demande d’euthanasie– Prétendre à des traitements non reconnus– Mentionner des positions testamentairesA quoi servent les directives anticipées ?– Dans l’hypothèse où vous ne seriez plus en mesure d’exprimer votre volonté, elles permettent à l’équipe soignante et notamment au médecin de connaître vos souhaits quant à la limite ou l’arrêt des traitements qui vous sont dispensés.– Le médecin reste libre d’apprécier les conditions dans lesquelles il convient d’appliquer vos directives compte tenu de votre état clinique et de l’éventuelle évolution des connaissances de validité des directives anticipées– Elle est de 3 ans à compter de leur date de rédaction, au terme desquels il est nécessaire de les renouveler.– Les directives anticipées sont révocables à tout moment par le patient sans formalité ou annulation des directives anticipées– A tout moment, il est possible de revenir sur ses décisions soit en les modifiant, soit en les adaptant.– Elles resteront valables à nouveau pour une durée de trois ans à compter de la date de qui les donner ?Les directives anticipées doivent être aisément accessibles à tout médecin qui doit les consulter notamment dans le cadre de la prise de décision d’une limitation ou d’un arrêt de possible, au choix de la personne concernée – dans le dossier d’un médecin de ville qu’elle désigne médecin traitant ou non– en cas d’hospitalisation, dans le dossier médical de l’établissement– ou conservation par leur auteur, la personne de confiance, ou à défaut, par un membre de la famille ou un comité de lutte contre les infections nosocomiales organise la surveillance et la prévention des infections nosocomiales au sein de l’établissement. Il s’inscrit dans une organisation instance s’attache à lutter contre des infections contractées par les patients durant leur hospitalisation et le développement des germes responsabilités du CLUD sont de proposer, pour améliorer la prise en charge de la douleur, les orientations les mieux adaptées à la situation locale ; elles doivent figurer dans le projet d’établissement ;de coordonner au niveau de l’ensemble des services toute action visant à mieux organiser la prise en charge de la douleur ;d’aider au développement de la formation continue des personnels médicaux et paramédicaux de l’établissement ;de susciter le développement de plans d’amélioration de la qualité pour l’évaluation et le traitement de la pratique, les CLUD coordonnent les actions, recueillent les informations cliniques et les besoins de l’établissement, afin de proposer une stratégie cohérente et adaptée devant aboutir à la prise en compte effective de toutes les douleurs. IxnGf.
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